Merci Olivier mais ne fais que ramasser les noix du noyer de Leonardo, si peu de chose... pour redevenir vivant
Cliquer sur l'image
Tabula ronde(Yé), tabula carrée(Vau), tabula double carrée(Hé Hé).
Aujourd’hui c’est tabula rasa, tabula zéro.
Même pas tabou, même pas déni, même pas non dit, de l’ignorance, encore de l’ignorance, toujours de l’ignorance...
Le savoir ne prend plus la peine de connaître, le savoir n’est plus que visible et nie de fait le savoir invisible.
Le savoir visible est écrit, le savoir invisible ne l’est pas…
Les deux sont inséparables puisqu’ils forment alors la connaissance et sont bien évidemment tombés tout les deux du même nid.
L’invisible est sous visible comme un sous entendu, un souvenir, car il n’est transmis qu’oralement pour redevenir vivant, souvenir qui s’incarne par le geste de la création, langage du cœur au cœur de la matière.
Souvenir, venir et devenir.
Il n’a pas d’âge, il n’a pas de temps, il est espace, forme et contour, un enfant le connaît sans le savoir.
Tant imposent une vision du passé à cheval sur le temps, sans chevaucher l’espace...
Le geste est invisible, pourtant c'est bien lui qui a créé l'oeuvre visible.
Notre Leonardo s’amuse, nous met une clefs visible, le cercle, et une serrure visible, tabula carré, mais la porte du sens ne peut s’ouvrir !
Le majeur est à l’honneur puisqu’il touche le bord du carré de côté, mais aussi le haut du carré, mais encore le cercle !
Malheureusement ce doigt d’honneur qui accède aux cotés du carré et au cercle intermédiaire ne peut atteindre ses coins.
Il a ses limites, du moins Leonardo nous le fait comprendre ainsi, impossible que le doigt d’honneur touche le coin…
C’est alors le coin qui est à l’honneur, l’intouchable, invisible à nos doigts…
Le rayon de lumière( En trait blanc) qui réunit ce coin du carré( Vau) jusqu’au nombril de l’homme, est le rayon du cercle invisible qui s’accorde en périmétrie avec notre tabula carrée...( Sur geogebra, c’est impressionnant cette quadrature)
Cliquer sur l'image
Si un accord d’Harmonie chante la réconciliation d’un carré et d’un cercle par la périmétrie, nous n’avons toujours pas notre table ronde de même surface que nos deux autres tabula, aucun indice du corps ne semble la positionner.
Le nombril, lien de l’homme à sa mère, à la mater, à la matrice, au cosmos, ne peut qu’être le centre de ce cercle !
Mais alors pourquoi Leonardo lui fait couper la première phalange du pouce, tout comme le majeur touche la tabula carré, pourquoi le pouce ne toucherait pas la tabula invisible !
Le pouce, pour ceux qui sont familiers aux mesures anciennes, est souvent la limite pour donner une coudée, en Égypte ancienne, c’est la meh cheri, 6 shesep( Palmes) et pour cette mesure, la main est mise à plat, le pouce serré contre sa palme, sa hauteur jusqu’au coude donne alors la mesure.
Mais une main Ă plat met le haut du pouce Ă une certaine distance du coude, et si on referme le pouce sur la paume, le haut du pouce augmente la mesure.
De plus, quand on écarte les bras en horizontale, nous avons tendance à aplanir les mains et pouce parallèle aux autres doigts pas à rentrer le pouce sur le devant la paume…
En d’autres termes si l’homme de Vitruve, dessiné par notre Leonardo avait ses mains à plat, le cercle aurait été touché par la haut de son pouce, tout comme le majeur touche les trois côtés du carré…
Sacré Leonardo qui a tout fait pour cacher les trois tabula, tout comme Vitruve ayant dédicacé à César son ouvrage, se garda bien de laisser à l'homme de pouvoir son héritage ayant bien reçu et compris la leçon de Dédale et d'Hiram.
A ce stade quels sont les rapports mis en évidence par notre humaniste !
Un, deux, tabula double carrée, racine de deux, diagonale de la tabula carrée, racine de trois, diamètre du cercle de la rencontre de la tabula carrée et double carrée, racine de cinq, diagonale de la tabula double carrée, et Pi, périmétrie de la tabula carrée et du cercle de rayon joignant le coin du carré au nombril, et par la surface, la tabula carrée et la tabula ronde en ouvrant les mains de l’homme, pour nous la livrer avec son pouce….
Il reste le nombre d’or, et son carré, et surtout le rapport un et le nombre d’or au carré?…
Et bien Ă©videmment nous nous attellerons aux mesures, que de surprises en perspective!
Au travail !
Pour mieux comprendre les cercles concentriques...
Du plus petit au plus grand:
-Cercle bleu invisible ayant comme diamètre le petit côté de la tabula double carrée( cent millionième exact du diamètre de la terre, Da Vinci ayant donné l'échelle de 1/10 de son dessin))
-Cercle bleu invisible tabula ronde de même surface que la tabula carrée et tabula double carré
- Cercle de Da Vinci visible en marron-rouge fait de la rencontre de la tabula carrée et de la tabula double carrée
-Cercle bleu invisible de même périmétrie que la tabula carré
Amitiés
Jean François