Espaces, formes et contours

Bonjour à Tous

Imola, est un très captivant dessin de Leonardo Da Vinci, dessin réalisé d'après ses propres prises de mesures sur le terrain, géomètre étant aussi, entre autre, une excellente compétence de plus pour cet humaniste homme-orchestre.

Je vous laisse observer, ce n'est pas un dessin habituel car il y a ici des gestes qui apparaissent comparables à aucun autre plan de géomètre et cartographe...
(Cliquer sur l'image pour l'agrandir)

Nous prendrons le temps d'éplucher et de savourer toute la richesse de ce dessin.

Amitiés

Jean François

Cliquer sur les images



Bonjour

Un temps d'observation et de recherche et je mettrai les commentaires plus tard...

Juste une petite mise au point, j'ai trouvé l'échelle du dessin en le superposant à la vue de Google Earth pro, le tout remis sur géogébra.

J'ai pris une distance superposable, le coin du château toujours existant et le centre de la porte EST.

En rouge les axes que j'ai soulignés sont donnés par Da Vinci et en noir les axes d'orientation Nord sud et Est Ouest donnés par Google Earth pro.

Dans le premier cliché, j'ai joint le centre de la porte OUEST jusqu'au centre arbitraire donné par le cercle de Da Vinci, le deuxième, le centre de la porte OUEST jusqu'au centre de la porte EST, le troisième le centre donné par Da Vinci jusqu'au ras de la porte OUEST.

Pour la quatrième les distances de la porte EST jusqu'au centre donné par Da Vinci, du ras de la porte Nord EST jusqu'au ras de la porte sud OUEST et enfin du centre de la porte nord OUEST au centre de la porte OUEST, mesures curieusement égales.

J'ai agrandi au maximum géogébra pour placer les points avec précision et placé l'image de Google Earth parfaitement à l'échelle, puis le dessin de Da Vinci grâce au repère du château et porte OUEST, l'enceinte ancienne d'Imola dessinée se repérant très facilement sur la vue aérienne d'aujourd'hui.

Et enfin le plus grand cercle est dessiné par Da Vinci, il ne lui a pas donné n'importe quelle mesure...

Amitiés

Jean François

Bonjour à tous

Il est peut être considéré à tort que le dessin de Da Vinci soit un des premiers plans vu par un oiseau, un faucon en vol stationnaire à la verticale du centre d'une cité...

Il est évident depuis des lustres que les architectures souvent imposantes soient représentées en plan et en élévation, témoignent d'ailleurs d'anciens papyrus de l’Égypte ancienne.

Et qu'un ensemble de ses architectures avaient dû bien évidemment être représentées en leur temps sur un plan général, pour leurs implantations au sol et leurs ordonnances.

Nous savons et avons pris conscience que tous les protocoles de création étaient détruits depuis toujours, et que c'est bien leurs disparitions volontaires qui bourdonnent toujours à nos oreilles telle une transmission orale.

Il y avait à la Renaissance de grands architectes géomètres, tout comme le mathématicien Luca Pacioli qui avait parfaitement formé Leonardo au savoir de son temps et des temps précédents.

Thot maître des lieux mais aussi patron des scribes des formes et des contours en Égypte ancienne avaient deux animaux totémiques, le singe, autant sur le sol que dans les arbres, l'Ibis, autant fouillant dans la vase du sol que de s'envoler plus haut que des pyramides.

Ces deux animaux ont une vision du ciel sur la terre et de la terre du ciel, deux points de vues.

Tout comme le serpent à plumes, Quetzalcoatl !

Puisqu'il est question d'arc tel le bec de l'Ibis, il est très particulier de voir ici sur le dessin de Léonardo un cercle tracé tout autour et à l'écart de la cité, en rase campagne, à travers champs et friches.

Nous commençons à comprendre les gestes des maîtres d’œuvres, leur vocabulaire, le phraser de leurs images construites avec arithmétique, géométrie et harmonie ou logique.

Bien sur ce cercle lui a servi certainement de cercle de visée(A1), mais il semble harmonieusement à la bonne dimension et à la bonne place, il respire l'évidence et le naturel, cette évidence et ce naturel que nous rencontrons dans tous les ouvrages de l'humanité, qui depuis les débuts de l'architectures et des arts visuels dans les cinq continents ont d'un commun accord utilisé l'arithmétique la géométrie et l'harmonie en connaissance de cause.

Nous avons donc mesuré ce cercle énigmatique(A1) semblant tomber du ciel, qui a cause d'un petit replis( le dessin est abîmé au centre) fait dans sa hauteur environ 1615 mètres et sa largeur 1612 m.

Toute la période Gothique en Italie connaît l'empan des bâtisseurs et la coudée Égyptienne que gardèrent précieusement dans leur mémoire jusqu'à aujourd'hui encore, du moins jusqu'à Vergez, les compagnons bâtisseurs, que gardent toujours en leur sein nourricier toutes les architectures avant le passage au Karcher de notre Laugier national, 1618 mètres(TS) ne sont autres que 8090 empans.

C'est donc un cercle de 8090 empans que semble avoir choisi Leonardo, choix de l'empan que l'on retrouve dans la Cène, un 8090 qui cherche son accord doré...

5000 est son accord et son unité, et 5000 empans se trouve très exactement du centre de la porte Ouest(G), jusqu'au centre de la porte Est(B) que l'on peut voir sur le deuxième cliché au dessus( Trait en bleu).

La mesure par informatique nous donne 999,8 mètres(GB), ce qui nous fait bien 5000 empans...

Mais quelle est donc cette mesure sur le premier cliché en bleu aussi, qui par étrangeté, du centre de la porte Ouest et allant jusqu'au centre du cercle, fictif, qu'à imposé Da Vinci dans les champs et les friches, qui par étrangeté disais-je est de 523,8 mètres(GA1)...

Soit un si joli 2618 empans(GA1)

Étrangement, après un cercle de 1618 mètres(TA1S), 8090 empans, une mesure de la cité de longueur 1000 mètres, un rayon de cercle fictif(GA1), choisi par notre Leonardo, de 1000 meh nessou( coudée royale Égyptienne) un lotus, et conséquemment 2618 empans(GA1) du moyen âge...

Ce rayon d'un cercle de diamètre donc de 1/10 d'Itérou Égyptien est le petit cercle parmi les trois cercles que j'ai représentés en noir.

D'abord le plus grand superposé à celui de Leonardo(TA1S), puis celui obtenu en formant un rectangle de longueur de la cité(GB)... comme largeur, et le diamètre du cercle de Da Vinci(TS)... comme diagonale, donnant ainsi à la longueur de ce rectangle( En d'autres termes un rectangle de 1 et racine de Phi, diagonale Phi), ici le diamètre du deuxième cercle, la 10000 ème partie du diamètre de la terre, rappelons-nous la 100000 ème partie présente à Chambord...

Et bien nous avons maintenant Phi, cercle de Léonardo(TA1S), l'unité, la longueur de la cité(GB) et Phi carré par la mesure du centre de la porte Ouest(G) jusqu'au centre de son cercle(A1), 1/5 de Phi carré.

1618m 8090empans
1000m 5000empans
523.6m 2618empans

Voici, pour quelques commentaires des premier et deuxième clichés(déjà l'entonnoir sur la tête) suffisamment chargés, une pause méritée avant les troisième et quatrième clichés, le chant des oiseaux et l'apologie d’Érasme ne sont plus très loin...Et le temple de la Divine Bouteille qui ne sera pas au Rabelais, nous ouvrira ses portes...

Nous pensons que le quatrième cliché va nous permettre de trouver la logique utilisée par Da Vinci pour prendre les dimensions de la cité bien évidemment par visées et triangulations, en s'appuyant sur les portes Ouest, Est, Nord, et Sud entre autre...

Bonne vérification, courage...

Amitiés

Jean François

Merci Jean François !!

Splendides retrouvailles !

Et il semblerait bien que le cercle de 1618 de diamètre soit la quadrature linéaire du 1/4 du carré contenant le grand cercle extérieur ...

Bonjour Olivier

Les trois cercles que j'ai tracés, dont le grand cercle que j'ai retracé en noir sur celui de Da Vinci est de 1618 m, 8090 empans, le suivant non tracé par Da Vinci, celui de 1272.7 m, 6364 empans et enfin le dernier non tracé par Da Vinci, celui de 1047.2, 5236 empans.

S'il y a quadrature linéaire, c'est avec le carré qui contient le cercle de 1272.7 m, 6364 empans.

alors oui le cercle de Da Vinci, est en quadrature avec le carré qui a pour côté la 10000ème partie du diamètre de la terre...

Amitiés

Jean François

Bonsoir

Avant de commenter le troisième et quatrième cliché, interrogeons nous tout de même sur les premiers éléments que nous avons découverts, éléments si bien recouverts et depuis si longtemps.

D'abord l’ ancienne voie Romaine qui serpente la cité d'Ouest en Est
et vice et versa, joint les deux portes Ouest et Est, jointure entre leur centre respectif nous révèle la longueur de la cité du levant au couchant :

5000 empans.

La précision du dessin de Da Vinci est impressionnante par rapport au mesure du satellite articulées avec le cadastre d’aujourd'hui.

Si nous nous référons à la civilisation Romaine, l'empan n'y était pas existant, pas de trace écrite, mais des traces tout de même dans les pierres des édifices...même dans la très belle petite chapelle de Sésostris premier.

Bien que l’empan que nous avions en notre moyen âge n'était pas non plus tombé du ciel, il avait du bien prendre sa source un jour, quelque part dans l'origine du monde des mesures.

Un soleil levant et un soleil couchant, peut être le nombre 1000 si aimé par nos anciens Egyptiens au point de le représenter en hiéroglyphe par la fleur la plus précieuse, la plus solaire que le monde nous a fait naître, six Lotus, pourront nous ouvrir la voie romaine du levant de la naissance du Christ au couchant de la Saint Jean et nous clarifier la voix.

6000 pieds Romains s"accordent si parfaitement avec 5000 de nos empans du moyen âge qu'on entendrait dans le lointain Vitruve pleurer de joie... pensons aux tables, ne les oublions jamais, sans elles aucune cité ne pouvait s'établir, ne pouvait réunir la terre et le ciel.

Et que nous l’acceptions ou le niions, ce qui n’y changerait absolument rien, 6000 pieds Romain s’accorderont toujours avec 5000 de nos empans, mais aussi avec 1000 de nos mètres d'aujourd'hui !

Si 6000 pieds Romain forment le côté de la table carré, 5000 empans sont le rayon d'un cercle de même surface, la table ronde...

Nous ne ferons pas l'affront à Da Vinci de douter qu'il pouvait connaître le pied Romain et ses valeurs comparatives, avec le geste du compas de la géométrie, en son temps, ni nous ne lui donnerons le coup de grâce en niant le fait qu'il pouvait connaître l'empan…

C’est de cette voie romaine, voix céleste, symbole de l’unité que Léonardo Da Vinci trace la divine proportion entre la longueur de la cité et le cercle fictif gravé dans les champs et les friches de son dessin.

Un et Phi, un défit...


Phi, grand cercle vu du ciel comme si Leonardo avait enjambé sa machine volante et s’élevait avec la chaleur des pierres de la cité et de ses rues un midi de l’été... ou était-ce son regard transporté par le vol du vautour du tableau de Saint Anne... ou par le vol d’un faucon volant si haut sur place, presque invisible, à l’affût de sa proie... ou encore par l’envol de l’alouette grisée par le soleil... enfin par l’envol de l’Ibis de Thot avec son bec si bien recourbé comme un arc tendu pour une magnifique vue terrestre, vue du céleste, de la cité d’Imola !

Ce grand cercle doré cache une autre énigme : le choix de son centre!

Le premier cliché où se tend un fil entre le centre de la porte Ouest et le centre du cercle fictif de Da Vinci, mesure 523.8 m soit 2618 empans, autre allusion dorée, ici au carré, mais avec une unité de 1000 empans( N’oublions pas que la longueur de la cité en est 5 fois plus, 5000).

Ces 2618 empans sont aussi 1000 meh nessou Égyptiennes, encore dans le 1000, le lotus et l’empan du moyen âge sont alors bien en relation avec la coudée royale Égyptiennes, la meh nessou, comme l’unité est à Phi au carré.(1 et 2.618)

Suite demain, je fatigue, il est bien tard.

NB j'ai rectifié une erreur répétée trois fois comme dans les comptes de fait plutót que dans les contes de fée, ce n'est pas 1000 pieds romains en accord quadratique avec 5000 empans mais 6000 pieds romains.

Notre troisième cliché nous montre un segment qui joint le centre du cercle fictif de Leonardo jusqu’à la porte Est

Je mets en complément un autre cliché pour mieux visualiser le centre de ce cercle.

Cliquer sur l'image Un cercle ici en rouge à gauche ayant pour centre le centre de la porte Ouest( Cercle centre G), de 2618 empans ou 1000 meh nessou, emporte avec lui le centre du cercle fictif de Da Vinci.

Mais pourquoi donc a-t-il positionné ce centre à 2618 empan ou 1000 meh nessou, et à 2500 empans au ras de la porte Est externe ?

En traçant le cercle rouge à droite avec son centre au ras de la porte Est(Cercle centre U), il vient croiser notre premier cercle( cercle centre G) aussi en rouge au point exact, le centre du cercle fictif de Da Vinci(Cercle centre A1)…

Les deux cercles rouges ont été reportés au centre fictif(A1) mais ici en bleu.

Nous ne manquerons pas de remarquer que le centre de la porte Nord(Point P) est lui éloigner de ce même centre du cercle fictif(A1) de1309 empans ou 500 meh nessou !

Cliquer sur l'image Ce soir dans mon lit, bonnet de nuit sur la tête et beau nez sur le visage, je ne manquerai de relire des extraits du très bel ouvrage «  De l’apologie de la Folie » de notre regretté Érasme…

Et puis que dire encore à ce stade !

Que le cercle de Da Vinci 1618 m ou 8090 empans(A1) est en accord doré avec la longueur de la cité de 1000 m ou 5000 empans.

1618 moins 1000 m ou 8090 moins 5000 empans donnent respectivement 618 et 3040

Soit Phi, l’unité et 1/Phi

Mais les distances volontairement mises en évidence par Da Vinci, par le positionnement du centre de son cercle déterminent à l’Ouest la mesure de 523,8 m ou 1000 meh nessou ou 2618 empans et à l’Est 500 m ou 2500 empans !

Multiplions par 5 cette mesure et nous obtiendrons 2618 m 13090 empans.

Soit l’unité, 1/ Phi, Phi et Phi carré, un jeu d’enfant !

Le quatrième cliché, nous prendrons le temps de l’analyse, car à ce niveau nous allons devoir mieux comprendre les gestes de prises de mesures et les moyens d’arpentages et de visées utilisés par notre Léonardo unique et préféré…

La suite demain...

Amitiés

Jean François

NB: Je mettrai en gros plan avec fort grossissement l'emplacement des points de mesure que j'ai posé sur géogébra, après l'ensemble de l'analyse, la précision avec moi cela ne rigole pas...

Sud-Ouest de la cité, nous percevons le château au centre un peu à gauche et l'orientation en blanc Nord Sud Est Ouest. La vue satellite est ici cadrée comme le dessin de Da Vinci
Pourquoi Da Vinci n'a pas orienté son dessin d'Imola en se servant de la feuille de papier, sa longueur et sa largeur telle une rose des vents, quelle quintessence nous prive ou nous cache encore Da Vinci...

Pourtant il lui aurait été si simple de basculer la cité sur la rose en se fiant au soleil de l'heure de midi sonnante, jeu d'enfant, un simple bâton pour ainsi marquer la courbe de l'ombre...

Sur ce deuxième cliché, nous avons repassé au trait rouge sur le trait de crayon de Léonardo, bien visible sur le premier cliché du dessin.

Tout comme l'image satellite articulée avec le cadastre terrestre, nous voyons la trace en gris, trait laissé par Da Vinci qui vient frôler le coin sud Est du carré du château, trace qui marque au travers l'espace et le cosmos la naissance et le couchant de l'Est à l'Ouest seulement deux jours par année, les équinoxes de Printemps et d'Automne.

Le cercle fictif est décomposé en 16 parties, et jusqu'à 64 parties en traits plus léger.
C'est à la croisée des deux cercles rouges qui font naître le centre A1 du cercle fictif et c'est le cercle de 2618 empans, et bien évidemment reporté au centre A1 croisant le premier.

Nous voyons l'axe bien marqué par De Vinci qui est donc dépendant de la porte Ouest.

Amitiés

Jean François

En 1817, Jomard Edmé François éclaire parfaitement nos propos à la page 89 de son livre, Mémoires sur le système métrique des anciens Egyptiens, en citant Diodore et Strabon qui évaluent les 100 brasses Égyptiennes à 185 mètres, soit un stade.

Et toujours selon Jomard, Hérodote, Aristote, Megasthène, Néarques parlent d'un petit stade Egyptien équivalente à 100 mètres

Quand aux Grecs en Egypte, selon Diodore, Orphée prend part aux fêtes, Homère lui même visite le pays, Solon fait aussi son voyage, évoqué par Platon, qui lui même se documente sur la géométrie, la théologie et la science sacerdotale, Oenodipe y apprend la marche oblique du soleil, Thalès de Milet, vit chez les prêtres et astronomes et en apprend la géométrie, Pythagore, vingt deux ans dans les temples d'Egypte selon Jamblique qui ajoute qu'il y trouve tous les théorèmes des lignes, Strabon, fait aussi son voyage, Démocrite y passe cinq années pour apprendre l'astronomie et la géométrie, Eudoxe, nous rapporte Plutarque, reçoit des leçons de Chonouvis du temple de Memphis et traduit en Grec la leçon des cinq planètes( les épicycles)etc...

100 mètres n'est ce pas 500 Empans...

Et un carré de 185 m, ne produit-il pas sur sa diagonale 500 meh nessou...

Deux stades...1000 Meh nessou, un lotus...

Le terme "stade" employé par Jomard montre à quel point nous étions encore pénétrés des racines de la civilisation Grecque et Romaine quand nous nous tournions vers l'Egypte au tout début de l'Egyptologie.

Que dire d'un Rabelais sous François 1er qui connaissait parfaitement le Latin et le Grec, tout comme Jomard, et l'Arabe aussi, langues exigées au Collège de France crée par le bon roi François, chantait Janequin, langue Arabe que connaissait parfaitement Jomard...

Nous savons aujourd'hui que l'Itérou est une mesure de surface mais de longueur aussi, grâce au traduction des hiéroglyphes de la Chapelle Blanche, une anastylose.

Mais nous avons peu d'indice sur les mesures de longueurs avoisinant les longueurs intermédiaires, telles les stades Grecs et Romains...

Pourtant les Grecs ont fait en leur temps leur voyage en Egypte( j'ai toujours eu un doute pour Hérodote) et n'ont pas inventé tout ceci, même si leur appropriation des sciences Égyptiennes a fini par se glisser profondément dans leur propre culture, tout comme les civilisations Greque, Romaine et judéo-chrétienne se sont greffées savec la nôtre tout au long des siècles...

Nous savons que les brasses existaient, les textes Égyptiens nous font part d'une brasse de 6 Meh Djeser, ou 4 Meh chery, que nous rapporte Carlotti.

Mais seulement ce qui nous reste des textes, la majorité des archives, les anciens Egyptiens écrivant tout, les temples croulaient sous des millénaires d'archives précise Sauneron, ont bien évidemment disparu...

Nous restent les nômes sur les édifices et stèle donnaient en Itérou, Cha-ta et Setjat, mesures de surfaces, mais pas les mesures de longueur avoisinants la stade Grecque.

Nous avons la présence des coudées, mais très peu pour ses multiples...

Nous faisons peu de foi aujourd'hui des propos des Grecs et Romains ayant vécu en Egypte et reçu des transmissions, que dire d'un Jomard érudit en mesures anciennes.

Il est vrai qu'il s'est planté sur la mesure de la Meh nessou, s'étant fié au Grecs...et tout le monde s'était planté!

Mais la mesure qu'il donnait pour la Meh nessou était déduite de la brasse Grecs et Romaine de 1.85 m, soit 6 pieds Grecs de 0.3085 m, et une coudée de 7 palmes de 0.54 m(Utilisée aussi par la civilisation Arabe) et de 6 palmes de 0.462 m, c'est cette dernière qu'il prenait pour la coudée Égyptienne.

Quand des coudées furent découvertes, Jomard du s'incliner.

Quelle importance puisque les Grecs avaient bien évidemment puisé dans leur séjour en Egypte toute la richesse de la métrologie Égyptienne et mis leurs propres mesures en accord géométrique...

S'il existait une brasse de 96 djebâ, la brasse de 99 dlebâ, elle, devait bien exister aussi!

Faisons confiance aux Grecs qui vivaient en Egypte ancienne et reçurent leur enseignement de vive voix.... pas les Egyptologues d'aujourd'hui...

Elle existe en effet sous la forme carré du Sa, mesure de surface Egyptienne, son côté fait 10 brasses de 1.85..mètres est bien évidemment son lien merveilleux avec la coudée royale, la meh nessou, grâce à la triangulation rationnelle du carré des arpenteurs depuis la nuit des temps, puisque 99 doigts ou djebâ donne une diagonale de 140...soit 5 meh nessou.

Jomard n'était pas très loin, il lui aurait suffit de diviser cette diagonale en cinq parties, il l'aurait eu la meh nessou...

Et aurait pu se défendre des attaques très agressives de Champollion quand la coudée Égyptienne fut découverte factuellement.

C'est cette hépèt que nous retrouverons écrite en creux ou bosse sur pierre et noire et sur papyrus, je l'espère un jour, certainement enfouie encore quelque part...

Ma main au feu...

La Renaissance Italienne connaissait son Grec et son Latin, Piero della Francesca, Alberti... pas Da Vinci qui d'ailleurs devait s'en informer autrement...moi non plus

Amitiés

Jean François

NB: Corrigé fautes et erreurs...doit en rester, mais je les aurai...