Espaces, formes et contours

J'ai acheté des livres extraordinaires, de nos scientifiques Français des siècles précédents, livres fac-similé de livres anciens, édités au Etats unis, en Inde, pas chez nous...ils ne sont pas chers du tout, ce qui est incroyable puisque ne doivent intéresser que si peu de personne, sauf des cinglés comme moi.

Ceux des Etats Unis ressemblent plus à l'aspect d'une photopie de thèse de Doctorat, ceux de l'Inde sont très beaux avec une couverture épaisse.

Jean-Baptiste Louis Rome de l'Isle, livres édité en 1789, espérons qu'il ne soit pas passé à la Guillotine...

Métrologie Ou Table Pour Servir A L'Intelligence Des Poids Et Mesures Des Anciens (1789)

Au Chapitre, mesures linéaires ou de superficie, 59 -ème Alinéa...

La circonférence de la terre

Est de 360 degrés de grand cercle, 800 journées de chemin, 2000 schoènes de l'Heptanome, 4000 schoènes de la Thébaïde, 6000 schoènes du Delta, 7200 lieues marine de France, 8000 parasanges, 9000 lieues communes de France, 24000 milles asiatiques, 27000 milles romains, 28800 milles européens,180000 stades alexandrins, 190800 stades philatériens, 216000 stades olympiques, 240000 stades nautiques, 252000 stades d'Ertosthène, 270000 stades pythiques, 300000 stades des Cléomède, et 400000 petits stades.

Ainsi ce dernier stade est la 400000 ème partie de la circonférence du globe, de même que le pied géométrique est la 400000 ème partie d'un degré de grand cercle. Or, comme l'a très bien fait remarqué M. Plaucton, cette 40000 ème partie du degré du méridien( mesuré par les anciens aussi exactement qu'il l'a été depuis par les modernes), étoit le prototype de toutes les mesures antiques. L'étalon de ce protoype existe non seulement dans le côté du carré qui fait la base de la grande pyramide d'Egypte. mesure du stade Égyptien, mais aussi dans la coudée sacrée, qui sert encore de nos jours à mesurer la crue du Nil, Ce Nilomètre est tracé sur une ancienne colonne de marbre, qui fait partie d'un, édifice place dans l'isle de Rodda au milieu du Nil entre le vieux Caire et Giza.

On commente ce soir!

L'ouvrage se trouve là : https://archive.org/details/mtrologieoutab00rom

Et ici :

Préface :

Enfin comme les Mesures de capacité ont un rapport nécessaire avec les différents Pieds dont elles sont la cubature, je me suis vu conduit à examiner de nouveau tout le système métrique linéaire des Anciens, déjà très approfondi par M. Paucton ; mais cet habile Métrologue a malheureusement confondu le Pied grec Olympique avec le Pied romain , en donnant le Pygon pour le Pied grec Olympique.

Il est résulté de cette double méprise une multitude de faux rapports, qui ont rendu défectueuse une grande partie de ses calculs.

Cette considération m'a déterminé à les refaire en partie, et à présenter au Public un nouveau Tableau des Mesures Linéaires des Anciens comparées avec les nôtres, depuis le Dactyle ou travers de doigt jusqu'aux plus longues distances itinéraires. ( Voyez la Table I. )

Je ne dois pas dissimuler ici le secours que j'ai trouvé dans les savantes recherches sur les différents Stades, qu'a donné M. Bailly de l'Académie Royale des Sciences dans le second volume de son Histoire de l Astronomie Ancienne.
C'est à lui que j'ai l'obligation d'avoir renoué le fil qu'avait rompu M. Paucton. Ce dernier Auteur n'a parlé que des quatre principaux Stades , qui sont le Delphique ou Pythique, le Nautique ou Persien, l'Olympique et l'Egyptien ou Alexandrin.
A ces Stades j'en ajoute quatre autres donnés par M. Bailly, qui sont : le Stade d'Aristote ou petit Stade, le même que M. D'Anville a désigné sous le nom de Stade Macédonien , celui de Cléomède , celui d'Eratosthène et le Stade Philétérien.
D'après la réunion que j'ai faite des Pieds de ces quatre derniers Stades à ceux qu'avait publiés M. Paucton, il est facile de se convaincre que son prétendu Pied Romain n'est autre que le Pied ou la 600 ème partie du Stade Olympique, et que si l'on ajoute à ce Pied, qui est de 17 7/9ème doigts, les 14 2/9 ème doigts du Pied Pythique, il en résulte les 32 doigts de la Coudée Sacrée.
On voit de plus que le prétendu pied grec Olympique de M. Paucton n'est autre que le Pygon, qui n'est le pied d'aucun stade connu , car le Pygon ou Palmipes de M. Paucton ne peut être que le Pied Philétérien , puisqu'il est la six centième partie du Stade Philétérien.
On ne peut donc donner avec lui , ou ceux qu'il a suivis , le nom de Pied Philétérien à la petite coudée de 21 1/3 doigts, puisque celle-ci, loin d'appartenir au Stade Philétérien, se trouve être la 600 ème partie du Stade Alexandre*. Quant au Stade d'Eratosthène, j'ai cru devoir m écarter de ce qu'en dit M. Bailly, pour me conformer à ce que nous en apprend Strabon (a), qui compte 700 de ces stades au degré, ce qui fait 252 000 stades pour la circonférence du Globe.
Malgré les méprises dans lesquelles est tombé M. Paucton sur deux ou trois mesures fondamentales des Anciens, ce Savant est le premier qui nous ait fait connaître toute la beauté de leur système métrique linéaire , que l'on peut regarder ajuste titre comme un des chef-d'œuvres de l'esprit humain. En effet , si l'on compare l'harmonie qui règne entre ces mesures, avec l'incohérence de la plupart des nôtres (b), on sera forcé de convenir que les Anciens sont à cet égard infiniment supérieurs aux Modernes ; voici les preuves de cette vérité, tirées de l'Auteur même que je viens de citer.

« On n'avait pas encore bien vu, dit -il, que les anciennes mesures avoient été étalonnées sur un prototype invariable , pris dans la nature même, et auquel nos mesures actuelles ont également un rapport connu. L'Egypte conservait le module authentique de cette mesure universelle, et c'était à ce module que les Grecs, comme Pythagore, confrontaient et justifiaient leurs mesures , qui devaient y avoir un rapport fixe et assigné.
» C'est donc sur cet étalon inaltérable qu'il faut mettre en parallèle les mesures de l'Antiquité avec les nôtres; et pour constater que les Anciens ont été exacts dans la vérification de leurs mesures sur cette mesure fiducielle, nous ferons intervenir en preuve les mesurages divers de Monuments Anciens actuellement existants.

» Le Prototype ou Étalon naturel auquel les Anciens avaient rapporté leurs mesures, est la mesure de la Terre. La grandeur connue d'un degré de Méridien terrestre n'est guère moins propre à fixer invariablement la valeur absolue d'une mesure que la longueur du pendule si vantée de nos jours (a)....
» Voilà précisément quel était le système métrique des peuples dans l'Antiquité la plus reculée. Cette partie de la législation leur avait paru mériter une attention particulière. Ils fixèrent d'une manière irrévocable leurs mesures, en les rendant dépendantes de la grandeur d'un degré du Méridien; ils en prirent précisément la quatre cent millième partie , que j'appelerai Métrèle linéaire ou Pied géométrique (a) Ce pied va nous prouver que la mesure de la terre avait été prise par les Anciens aussi exactement qu'elle la été dans ce siècle.

Bonjour Olivier

Tu m'as devancé

J'allais rajouté quelques extrais très parlants voilâ qui est fait de ta part, et puis je me suis rendu compte de l'ampleur de la tache à tout revérifier calculer, plongé dans la calculette avec une feuille et un crayon, le temps passe vite...

De l'Isle est beaucoup plus synthétique dans sa vision des mesures anciennes que Jomard et Paucton plus radical.

Mais ils ont tous les trois la même conviction...et c'est aussi la notre !

Avec eux nous sommes lâ en plein siècle des lumières et nous constatons aujourd'hui à quel point cette science et connaissance des mesures anciennes a été rayée de nos préoccupations, l'imposition du mètre, comme maître, a fait tabula rasa d'indices fondamentaux sur notre histoire humaine.

Oublier, la belle affaire, mais omettre et nier toute cette connaissance qui nous a précédés, c'est tout autre chose et bien la gravité des omissions et lacunes sur ces sujets.

Nous qui ne respectons plus la terre aujourd'hui, nous ne respectons pas davantage la représentation de la terre chez nos anciens, nous les infantilisons, et faisons les maîtres étonnés des prouesses de nos serviteurs du passé qui ont bâti des pyramides.

Nous n' avons finalement cherché ni le pourquoi, ni les causes.

Et sous prétexte de notre avancée considérable de nos savoirs quantitatifs sur le passé grâce à nos sciences d'aujourd'hui

Tout n'est finalement qu'une question de regard et d'analyse !

Mais alors quel regard et quelle analyse faut-il avoir?

Rechercher dans les espaces, les formes et les contours, des architectures et œuvres d'art ce langage qui ne s'est jamais écrit, ce savoir faire et faire savoir oral et gestuel.

Nous allons beaucoup apprendre au contact de ces auteurs, cela me fait déjà encore mieux comprendre Jomard.

Du pain sur la planche.

Mangeons...

Il y aurait eu un petit stade dit aussi stade d'Aristote, un stade de Cléomède, un stade Pythique, un stade d'Eratosthène, un stade d'Hérodote, un stade Olympique, un stade Philétérien, un stade d'Alexandrin ou égyptien...

Et ces stades donnaient chacun la mesure de la circonférence de la terre!

Circonférences de la terre avec180000 stades Alexandrins, égaux à 190800 stades Philétériens, à 216000 stades Olympiques, 240000 stades d'Hérodote ou Nautique, 252000 stades d'Eratosthène, 270000 stades Pythiques, 300000 stades de Cléomède;, 400000 petits stades...d'Aristote!?!...

Ah bon !!! 400000 de ce stade pour la circonférence de la terre, le stade d'Aristote valant très exactement 100 mètres d'aujourd'hui !

Le livre de De Lisle a été écrit bien avant 1789, la décision de créer le mètre n 'a pas encore été décidé !

Et puis Aristote, ça remonte au calandes grecques... , cette mesure était donc bien connue...

Il y a vraiment une arnaque historique encore aujourd'hui, des omissions, des rétentions d'information, jusqu'à nous faire croire qu'Aristote s'est planté sur les mesures de la terre, serait assez éloigné, forcément, sans complexe nous donnons aujourd'hui une autre valeur à son stade, c'est carrément de l'inculture ou pire de la triche !!!

N'oublions pas, quand aux Grecs en Egypte, selon Diodore, Orphée prend part aux fêtes, Homère lui même visite le pays, Solon fait aussi son voyage, évoqué par Platon, qui lui même se documente sur la géométrie, la théologie et la science sacerdotale, Oenodipe y apprend la marche oblique du soleil, Thalès de Milet, vit chez les prêtres et astronomes et en apprend la géométrie, Pythagore, vingt deux ans dans les temples d'Egypte selon Jamblique qui ajoute qu'il y trouve tous les théorèmes des lignes, Strabon, fait aussi son voyage, Démocrite y passe cinq années pour apprendre l'astronomie et la géométrie, Eudoxe, nous rapporte Plutarque, reçoit des leçons de Chonouvis du temple de Memphis et traduit en Grec la leçon des cinq planètes( les épicycles)etc...

Ce dernier petit stade, dit stade d'Aristote, ce qui n'est pas rien, était aussi répertorié par Jomard comme le petit stade Egyptien...

Le petit stade d'Aristote est donc un stade Egyptien, tout comme le stade Olympique, serait le grand stade Egyptien, ce que confirmera en 1817 Jomard, 28 ans après De Lisles.

Du Khet à l'Itérou un grand vide dans les mesures Egyptiennes de longueur, pas de stade chez les Egyptiens et cela tous les spécialistes, enfin qui se considèrent comme tel, s'en f.....complètement, et bien oui on n'a rien pas d'écrit sur cet intermédiaire entre 100 meh nessou, le Khet et 20000 meh nessou, l'Itérou, le stade en hiéroglyphe...absent! .

Pas de texte en réfère, on voit par là les énormes lacunes et trous divers sur les connaissances de l'Egyptien, mais cela ne nous empêche pas de nous accrocher à un document comme un chien à un os et d'en tirer des généralités absurdes et parfois contraires à ce que d'autres langages, tel celui des formes et des contours, peuvent nous révéler bien plus surement.

De plus les grecs, qui ont connu les Egyptiens rapportent des informations, Aristote, Hérodote, Strabon, etc...je ne nommerai même pas les Bailly, Paucton, De Lisle, Jomard, etc... qui ont connu les mesures anciennes mieux que nous aujourd'hui, connaissant leur latin, le Grec, l'arabe et autres langues et plus personne aujourd'hui ne les écoute, comme nous n'écoutons pas davantage les Grecs quand ils encensent l'Egypte et tous sans exception, pour y avoir fait leur voyage et reçu l'enseignement des Egyptiens...

Et le comble dernièrement, j'ai lu sur le net ébahi que ceux qui recherchent les sources du mètre avant la révolution, prétextant qu'il remontait à l'histoire ancienne, sont des sortes de théoriciens du complot... les complotistes du mètre.

Quelle inculture...

Vite je relis Aristote et je remonte à la source sur ce stade d'Aristote, très vite je pique un 100 mètres pieds nus sur le stade, sur le petit stade d'Aristote, merci Aristote.

Les médaillés du 100 mètres Olympique peuvent remercier Aristote et les Egyptiens !

On comprend mieux maintenant au chapitre de la querelle entre les Egyptologues symbolistes et les historiques, les symbolistes passionnés de géométrie n'ont pas cassé le lien avec la connaissance des mesures anciennes, la géométrie ne semblait pas au gout des historiques, plutôt de formation littéraire, du moins ce qui pourrait les excuser.

On comprend mieux aujourd'hui qu'on rabâche encore et toujours que les Egyptiens pour calculer la circonférence d'un cercle font 3 fois le diamètre...Ce qui n'était pas du tout le cas des symbolistes, confèrent les travaux de recherche du couple Lubitz...et qui n'avaient pas oublié les Paucton, De Lisle et Jomard, en passant pas Hérodote, Strabon, Aristote, Jamblique, etc...


Comme cette querelle fut mesquine de la part des gagnants...Quel gâchis...

Bonsoir Jean François,

ces débats stériles autours des vraies connaissances des anciens ne sont plus alimentés que par les trolls internet dont le niveau ne dépasse pas celui de la première scientifique. Il faut avancer en les laissant derrière, ce sont les mêmes crétins obscurantistes qui ont fait le procès de l'hydroxychloroquine et qui risquent de se retrouver conviés au procès de Nuremberg numéro 2.

Par exemple, pour compléter ta citation, voici ce qu'on trouve expliqué traduit du grec dans les manuels Nathan de première S (2019). Cela ne clôt pas entièrement le débat, mais c'est quand même sur les trolls que repose la charge de la preuve du contraire :

Document e page 181

Arguments d’Aristote en faveur de la sphéricité de la Terre

Les uns jugent la Terre sphérique ; les autres la croient plane, et la représentent sous la figure d’un tambour. La preuve qu’ils en donnent, c’est qu’on observe que le Soleil, quand il se couche ou qu’il se lève, a toute la partie qu’il cache sous la Terre en ligne droite et non pas en ligne circulaire.

Pourtant, il faut nécessairement que la Terre soit sphérique car :

– la pesanteur attire chacune de ses parties jusqu’au centre ;

– dans les éclipses de Lune l’ombre de la Terre est toujours courbe ;

– il nous suffit de faire un léger déplacement, soit au midi, soit au nord, pour que les astres qui sont au-dessus de notre tête subissent un changement considérable ;

– on retrouve des éléphants aux deux extrémités du globe, aussi bien au pays qui est aux colonnes d’Hercule qu’au pays qui est vers l’Inde, et qu’ainsi il n’y a qu’une seule et unique mer.

Et les mathématiciens qui ont essayé de mesurer les dimensions de la circonférence, la portent à quarante fois dix mille stades.

D’après Aristote, Du Ciel (Livre II), 350 av. J.-C.

Ce ne sont malheureusement pas des trolls, c'est notre science officielle, bien implantée dans cette tricherie...

C'est assez effrayant de constater qu'aujourd'hui nous évaluons en partant des écrits d'Aristote, que la terre avait pour lui un volume 5 fois plus important que le volume que nous lui donnons actuellement.

!!!???

Mais de qui se moque-t-on?...

Mokeu d'jin !

J'ai même vu un traducteur d'Aristote dans les commentaires nous dirent que 40 fois dix milles, c'est 440000 stades

Je sais qu'un traducteur a plutôt une formation littéraire, mais quand même...

Et partout que ce soit dans le milieu Scientifique, Philosophique, Aristotélicien, Métaphysique, Astrophysique, Physique, trop physique, pas assez physique, jusqu'au comptoir des bars de la tournée sur internet, tous sont unanimes.

La terre ronde comme une boule d'Aristote est vraiment trop grosse avec ses 400000 stades de circonférence, la conférence frise la poire...

Déjà que celle d'Eratosthène, aux dires de certains, est elle aussi trop grosse!

Mais moins quand même... c'est un progrès certain !

Car tout ce qui se rapproche de notre nombril du haut de notre XXI ème siècle, ne peut qu'être plus évolué, et que forcément Aristote déjà bien avancé dans l'âge, la jeunesse porteuse de progrès en la personne d'Eratosthène allait bouleverser la chronique, en faisant un prodigieux bon en avant, au point que la terre aller en rebondir...

Coup de pieds dans le stade, terre trop gonflée encore, trop rebondissante...n'entre pas dans les buts...

Personne... pas un seul même pas son ombre pour dire que le nombre de stade possible utilisé à cette époque pouvait porter à confusion, car en effet plusieurs stades étaient de rigueur...

A ce stade de la réflexion, j'espère qu'on me voit y venir !

Non...pas possible, il y avait plusieurs stades à cette époque ?.. !

Mais quelle inculture, quelle sinécure, j'ai moi même honte de ne pas m'en être aperçu avant!

L'inconscient Freudien, qui existe aussi chez Onfray mais qui ne peut s'en apercevoir puisque c'est le principe de l'inconscient de ne pas être aperçu, se trouve aussi dans l'inconscient collectif et que forcément il m'aura fallut 41 ans et demi de recherche et enfin un champ Elysée de temps à parcourir et à m'y consacrer, grâce à ma retraite de ce premier Avril, jour du poisson, puisque né un Vendredi 13 Mai et mourrai à la saint Glinglin...quelle chance , pour enfin m'en apercevoir !.

Et si le stade d'Aristote était tout simplement le petite stade Egyptien, ce qui dégonflerait sérieusement la baudruche présumée d'Aristote, cinq fois plus grosse que notre terre d'aujourd'hui...

Tout le monde a pensé ou a voulu inconsciemment penser, dur comme fer, que le stade d'Aristote était aussi grand en tant que stade que le stade Olympique ou Pythique ou Philétérien ou Alexandrin ou d'Hérodote ou d'Erarosthène !

Mais finalement serait-ce inconscient d'avoir grossi le trait à ce point... ou un tout petit peu embarrassant ces 400000 stades d'Aristote !

Jomard, De Lisle et d'autres signalent la présence de deux stades dits Egyptien, le grand de 185 mètres précise aussi Jomard et le petit de 100 mètres.

Le petit stade rapporté aussi par Néarque, Déimaque, Mégastène, en ont fait aussi un usage exclusif.

Alexandre Le Grand utilisait ce petit stade, et les mauvaises langues de l'époque de dire que c'était pour se vanter des nombreux stades parcourus forcément....

Alexandre a eu comme enseignant et maître...Aristote !

Et ce petit stade est celui choisi par Aristote, comme par hasard, pour donner les mesures de notre bonne terre...Le stade d'Aristote !

40 fois10000 donnent bien 400000 fois 100 mètres, un beau 40000000 de mètres.

Voici la terre par Aristote qui ne sait pas trompé, bien 40000 kms.

Pourquoi faisons nous le choix du stade le plus grand pour faire croire qu' Aristote a les yeux plus gros que le ventre !

C'est intellectuellement profondément déloyale d'avoir choisi parmi les stades uniquement celles qui faisaient foirer l'annonce d'Aristote.



NB Corrigé les fautes, vais arrêter d'écrire avec mon téléphone, insupportable...ma vue baisse...éprouvant pour les nerfs en plus avec nos gros pouces et le correcteur d'orthographe....m'enfin.

Soyons simple, laissons le geste s'exprimer!

Aristote est parfaitement conscient qu'il est le bout d'une chaine qui a commencé depuis la nuit des temps, parfaitement conscient de l'apport considérable des sciences de l'Egypte ancienne, de Mésopotamie, lui qui fit un voyage en Asie mineure.

Aristote n'aura pas pris ce stade à la légère, c'est un choix subtil de sa part !

Il s'adresse aux hommes de son temps, pas à nous aujourd'hui qui ne savons prendre sa terre que comme une grosse patate 5 fois plus volumineuse que ce que nous lui concédons aujourd'hui.

On n'écrit qu'une seule fois dans sa vie la forme de la terre et sa dimension après avoir choisi la meilleure figure ici la sphère et le meilleur étalon de mesure, ici le stade dit d'Aristote.

Aujourd'hui nous ne savons même pas le dire correctement, nous disons que la terre n'est que ronde...alors elle peut être ronde et aussi plate !

Il faudrait ajouter, ronde bosse, ou ronde comme une boule...nous devrions dire sphérique avec la précision d' Aristote, nous ne sommes même plus précis...

Aristote avait beaucoup de détracteur, il ne pouvait pas se permettre une négligence, une confusion.

Au IV -ème siècle avant notre ère, on ne rigole pas avec cela!

C'est immense intellectuellement et moralement d'annoncer la forme de la terre et sa dimension au jour, l'écrire et que cela soit lu.

C'est même une prise de conscience de son humanité, de sa place dans l'univers, dans la cité, sa mesure et son rapport avec la dimension de la terre.

L'homme bâtisseur de cité élève son point de vue, son esprit, prend conscience qu'il vit sur une sphère, prend conscience de son corps et de sa mobilité et de ses mesures corporelles, et de sa mesure intellectuelle, de ce qu'il peut et de ce qu'il ne peut pas.

Aristote ne s'est pas trompé, et se repose sur les Mathématiciens !

Péremptoires, précise-t-il, des preuves péremptoires...

Nous ne supporterions pas aujourd'hui avec notre aveuglement dominateur, tout comme l' est parfois l'aveuglement religieux, qu' Aristote ne se soit pas trompé, que les mathématiciens, qu' il n'a pas dit que de son époque, avaient évalué la terre à 40 fois 10000 stades.

C'est donc sur le stade et sa valeur que nous avons joué pour rester les seuls élus de cette bonne nouvelle, en éliminant toute éventualité d'une telle réussite par les anciennes civilisations!

Même qu'on attribue une grosse erreur à Eratosthène, même principe de décrédibilisation.

A bon Eratosthène donne les mesures de la terre au III -ème siècle avant notre ère!..

Pourtant Aristote donnent celles des Mathématiciens et cela 100 ans avant celle d'Eratosthène

Que d'imprécision de notre part !...

Nous ne pouvons nier l'existence physique d' une grande pyramide, déjà une gifle à notre superbe, mais nous pouvons faire la petite bête et innocemment donner la valeur la plus forte au stade d' Aristote, pour le disqualifier et avec lui toute l'Egypte et la Mésopotamie...

En prétextant que ce n'est pas important, c'est la métaphysique d'Aristote qui est plus importante, bien sûr elle est très importante, que le fait qu'il ait donné ou pas les bonnes dimensions de la terre. Et pendant ce temps là derrière son dos nous lui volons sa confiture, et seulement pour l'étaler pour nous.

Tartufe que nous sommes, nous cachons ce sein de la terre que nous ne saurions voir, pour écarter tous ceux qui y ont bu avec amour sa si bonne mesure depuis l'Egypte ancienne, jusqu'à l'avènement de l'Occident tout puissant...

Sous prétexte que la métaphysique est plus importante que le tour de poitrine de notre terre, tout en tétant entétés sans cesse, n'y laissant personne d'autre, même tous ceux qu'elle a nourris.

Car cela signifierait que ce serait l'aboutissement d'une longue chaine de connaissance.

Bien des notions dans notre histoire humaine ont été acquises puis perdues, retrouvées, démontrées avec la logique et la culture présente, reperdues à nouveau, disparues à jamais...

Toutes l'histoire, la vraie, ne nous informe-t-elle pas de cela?

Alors ce stade d'Aristote!

Jomard nous rappelle que les Grecs citent deux stades dit Egyptiens, l'un de 100 mètres, le petit, et l'autre de 185 mètres, le grand.

Jomard, De lisle, Paucton, Bailly, Oppert et d'autres encore...l'écrivent !

D'où vient ce petit stade?

En trouvant d'où vient le grand!

Très simple, prenons un carré "Sa" Egyptien, son côté fait 18.512 mètres pour une diagonale de 50 meh nessou...

10 fois le côté Sa nous livre le grand stade que les Grecs ont appelé stade Egyptien.

Nous n'avons pas de texte Egyptien qui parle d'une mesure entre le Khet et l' Itérou, laissant un vide abyssal entre ces deux mesures;

Nous n'avons d'ailleurs que peu d'indication sur l'Hépèt Egyptien, mais heureusement une trace écrite, qui nous donne sa valeur de 6 meh djeser, il a fallu de peu que nous ne sachions son existence...une seule phrase...

Et bien pour ces deux stades, nous n'avons rien d'écrit qui ait subsisté des Egyptiens!

Par contre tous les grecs en parlent, nous pourrions avoir confiance en eux!

Ils ont parlé de vive voix eux, avec les Egyptiens, la parole est-elle moins que l'écrit?

Comment les Egyptiens auraient eu deux stades, un de 100 mètres et l'autre de 185 mètres?

Les 100 mètres passent très mal, cachons ce sein que nous ne saurions voir, trop proche de notre mètre d'aujourd'hui!

C'est pourtant celui là qu'a utilisé Aristote...Aristote maitre d'Alexandre, Alexandre qui l'utilisa tout au long de son règne, le fameux petit stade Egyptien, le grand étant surtout celui du V -ème siècle avant notre ère, celui de Périclès et de Phidias qui l'utilisèrent pour l'acropole duquel Phidias en tira le pied Olympique, 100 de ce pieds définissant la largeur du Parthénon.

En connaissance de cause et sachant très bien ce que cela signifiait.

Jamais les Grecs n'ont eu honte d'aller apprendre les sciences en Egypte et ont toujours fait l'éloge de leur connaissance que les Egyptiens ont bien volontiers partagé avec le peuple Grec, et ce tout au long de son ascension vers le siècle de Périclès et celui d' Alexandre.

100 mètres, c'est aussi un stade de Sumer, puisque la coudée de Sumer faisait 0.50 cm, 200 coudées donnant aussi 100 mètres.

Vient de me revenir à l'esprit que c('est aussi la coudée étrusque...

Alors d'où vient 100 mètres?

Toujours du rapport le plus beau, très bien connu des Grecs et reçu des Egyptiens, le rapport 1 et Phi carré...

Reprenons le Sa, si nous établissons la relation 1 et Phi carré entre une longueur lambda et la diagonale de ce carré, nous aurons un lambda qui fera 10 mètres.

10 fois, c'est 100 mètres de stade.

Comme pour le grand stade, en découle le petit.

Rappelons nous de l'hépèt qui est la brasse Egyptienne qui ne se décompose pas en meh nessou.

D'ailleurs je commence à me demander si la brasse Egyptienne ne serait pas en toute logique, 9 empans de 0.2 mètre, issu du rapport 1 et Phi carré avec la meh nessou et si proche de 6 meh djeser...

Surtout qu'un autre hépèt de 99 djébâ, dixième du côté du carré Sa existe lui aussi, étant le centième du grand stade Egyptien.

Aristote nous convie à boire au sein de la terre qui a donc une circonférence de 400000 stades de 100 mètres, soit 40000000 de mètres...comme aujourd'hui

Comme aujourd'hui et comme hier la course Olympique du 100 mètres est en accord 1 et Phi carré sur racine de 2 avec le grand stade Olympique !

N'oublions pas le 3/4/5 d'un terrain de football d'aujourd'hui

Rappelons grand stade185 mètres, petit stade 100 mètres nommés Egyptiens par les Grecs.

S'ils sont les messagers entre le Khet et l'Itérou, des évidences devraient donc apparaître...

Nous avions vu que le grand stade est 10 fois le côté du carré Sa.

Et bien si nous prenons un carré surface Itérou, soit d'un Itérou de côté, la diagonale sera de 80 grands stades.

Si nous appliquons avec l'Itérou le rapport Phi carré et 1, nous obtenons nos 40 petits stades.

Multiplié par 10000, c'est la circonférence de la terre.

Voilà d'où vient la source d'Aristote...

Tout comme les mesures de Surface Égyptiennes leur mise en carré met en évidence les racines de 2, 5 et 10, mais aussi pour les stades Égyptiens....

Nous allons refaire un sujet sur les mesures de longueur et en parallèle celles de surface en complétant le grand trou entre le Khet et l' Itérou.

Aristote donne donc la circonférence de le terre à 40 fois 10000 stades ou 40 stades 10000 fois donc 40000 kms.

Reprenant le travail des Mathématiciens, sans préciser qu'ils étaient uniquement de son époque....

Ces Mathématiciens pour la calculer ont procédé de la même manière avec la mesure d'une méridienne, par géométrie et par son raisonnement, obtenir ainsi les mesures de la terre, bien avant Eratosthène.

Ce n'est pas Eratosthène le tricheur, car Aristote 100 ans avant lui donne la mesure de la terre, sans même préciser la chronologie des Mathématiciens, c'est notre civilisation qui a voulu donner la primeur à Eratosthène, directeur de la bibliothèque d'Alexandrie qui n'avait qu'à se servir dans l'immense documentation accumulée depuis des millénaires.

C'est tout simple, nous avons nié tout ce qui a précédé dans cette compétence...sinon notre vision du passé explose...

Voilà pourquoi nous cadenassons la science Égyptienne et Mésopotamienne en leur attribuant d'office pour le calcul de la circonférence un trois fois le diamètre du cercle, pour écarter tout autres pensées intrusives, dont celle terrifiante qu'ils auraient pu faire un calcul de méridienne...

C'est même un déni pathologique, l'Occident a toujours été un pervers narcissique...

Et puis Eratosthène, tout comme Lucas Pacioli piquait des démonstrations dans les codex de Piero della Francesca, a fait de même dans la caverne d'Ali baba que devait être cette bibliothèque

Nous aimons honorer des personnalités de notre histoire, en faire nos génies, et oublier que le bébé a tété sa mère.

Cela nous a arrangé de construire ainsi ces personnalités et certainement très différentes avec ce qu'elles ont été, que serait Bach sans Buxtehude, Vivaldi et Rameau....

Que serait Eratosthène sans Aristote et la bibliothèque d'Alexandrie, que serait Aristote sans les mathématiciens de toute l'histoire qui l'a précédé?

Notre histoire des sciences est un véritable conte de fée, où le compte de fait bat de l'aile, que d'approximation et raccourci, que d'hypothèses et théorie prises pour des certitudes en passant le tout par la théorie de: Les Grecs, c'est toujours mieux que les Egyptiens...

Bien sûrs que les Grecs c'est bien, tout comme les Egyptiens, même les Grecs qui ont fait tous leur voyage en Egypte remercient l'Egypte de ses enseignements...on ne peut arracher la Grèce à l'Egypte, sa mère qu'ils ont tous tétée

C'est de la politique sinon, pas de l'histoire...Déjà Hérodote montre les limites de l'histoire, nous ferions bien d'avoir le souci permanent de relativiser, et prendre la distance nécessaire, non pour honorer telle période plutôt qu'une autre, mais de regarder les faits, tous les faits et pas seulement dans les restes d'écriture, il y a d'autres langages et écritures, encore faut- ils les apprendre et les comprendre.

Bématistes, harpédonaptes ont parcouru le pays de Kemet depuis des lustres illustres, les crues du Nil dévastatrices nécessitent la remise en état de chaque nôme faisant naître ainsi un cadastre, maîtrise de toutes les distances de long en large de l'ancienne Egypte.

Les temples, bibliothèques d'archives accumulées parfois sur plusieurs millénaires, constituent une mine d'information qu' Eratosthène, directeur de la bibliothèque d'Alexandries, le Béta ainsi surnommé par ses pairs Alpha, dans laquelle il n'a eu qu'à puiser pour déterminer la mesure de la terre.

Et puis Eratosthène a lu Aristote, qui donne les 40 fois 10000 stades, pas des grandes.., et attribuer comme nous le faisons la paternité de la dimension de la terre à Eratosthène, en écartant Archimède, Aristote, Aristarque, et autres Grecs qui ont tous tété en Egypte ancienne, Euclide compris, écarter les anciens Egyptiens, Sumériens, Assyriens, Mésopotamiens etc... de toute paternité et même maternité, car plus difficile d'enfanter la circonférence de la terre et d'en tirer la première mesure géodésique que d'y mettre sa petite graine après coup.

Ne cherchons pas le stade d'Eratosthène parmi ceux existants, il l'a créé pour donner sa propre dimension à la terre !

Il est bien évidemment reparti de celui d'Aristote, petit stade Egyptien, en créant un stade de 8/5 plus grand.

Créativité oblige, la terre est au centre du stade d'Aristote et de celui d'Eratosthène.

S'il a rajouté par la suite 2000 stades, ce n'est pas une longueur supplémentaire, mais un nombre de stade plus important pour une mesure de stade plus petite qu'avec 250000 stades pour la circonférence de la terre.

Son stade part évidemment du même qu'Aristote, le petit stade Égyptien qui s'il était le côté d'un carré s'accorderait avec son cercle de même surface inscrit lui même dans un carré dont le côté n'est autre que le stade d'Eratosthène !

Pour deux raisons ce 252000, le rajout d'Eratosthène par la suite de 2000 stades, la première pour que la circonférence soit divisible par 60 et l'autre parce qu'elle est en quadrature par la racine de 2 avec le petit Stade d'Aristote.

La terre pour Eratosthène ferait donc pour nous 40200 kms

Certains nous disent, ou ont déduit qu’ Eratosthène aurait utilisé le stade Egyptiens de 300 meh nesssou soit 157,08 mètres ce qui nous fait une terre un peu plus petite.

D’où vient ce stade ?!? Nous n’avons rien d’écrit en Hiéroglyphe qui en fait part, supposition gratuite de la part des auteurs, on n’en sait rien. Manque d’archive, César est passé par là….

Donc nous pouvons en proposer encore, car ce peut être aussi 10 petits stades divisés par 9x7.

Nous aurions alors pour nous une terre de 40000 kms

Maintenant à ce stade, le stade d'Eratosthène si nous le passons par la racine de 10, très simple tracé, nous atterrissons sur 500 mètres, soit 5 stades d’Aristote et c’est je crois l’astuce intelligente du choix d’Ératosthène d’avoir inventé puis pioché dans les archives Egyptiennes.

Sinon pourquoi aurait-il inventé un nouveau stade ?!?…

Pour nous la terre ferait alors 39845 kms !

Mais encore, il a pu en effet prendre 5 petits stades d’ Aristote ou dit Egyptiens par les Grecs, circonférence d’un cercle et obtenir comme diamètre la signature de sa stade.

Pour nous 40107 kms, à 25 kms près de la plus grandes circonférence de notre terre mesurée aujourd’hui.

Tout ce qui est dit souvent à ce sujet n’est que fantaisie arithmétique par les auteurs, laissant de côté les rapports géométriques tant appréciés autant par l’Egyptien que par le Grec, et géométrie va comme un gant aux mesures de la terre.

Maintenant la méthode utilisée par Eratosthène, aucune science de l’histoire ne peut nous assurer qu’il la produit lui même face à tant d’archives, il n’a eu qu’à puiser, ayant de plus archives et des traducteurs sur place Egyptiens…

Et les mathématiciens dont parle Aristote, comment auraient-ils procédé ?

Il n'y a qu'une méthode...Non pas aller se faire voir chez les Grecs!

Meuh non, mais chez les Egyptiens !

Ératosthène s’est bien joué de nous !

5000 stades pour Alexandrie- Syène, mais de quel stade parle-t-il ?

800 kms, plus proches de 844 kms, donneraient entre 159 et 169 mètres le stade…

Et 844 kms ne sont plus la cinquantième partie de notre terre...

Des pieds de 0,32 à 0,34 mètres et des coudées de 7 palmes de 0,55 à 0,59 m et de 6 palmes de 0,472 à 0,507 mètres, quelles étrangetés!

Nous avions remarqué que le choix de ce stade par Eratosthène était les 8/5 de celui d’Aristote.

Pourquoi donc Ératosthène en a changé, était-ce le siècle de ce stade de 160 mètres, après celui du petit stade de 100 mètres du siècle d’Aristote et d’Alexandre et, celui de Socrate et Périclès, le siècle du grand stade de 185.12 mètres, ces deux derniers appelés Egyptiens par les Grecs !…

Mais alors que sont ces pieds et coudées, qui découlent de ce stade d’Ératosthène!…


Et pourquoi un stade de 500 pieds au lieu de 600, puisque la brasse vaut 6 pieds et que le stade fait 100 brasses, pour les Égyptiens qui ont fait naître le grand stade 185,12 mètres, côté d’un carré de diagonale 500 meh nessou ( coudées royales)…

Observons le pays de Kemet, comme si nous avions les yeux et les ailes de l’ Ibis de Thot…et son bec en courbe...où plus d'époque comme si nous avions un avion...
( Cliquer sur l'image)

Ce n’est plus ici la distance d’Alexandrie à Syène, cinquantième partie de la circonférence de la terre, mais un détour de Gizeh à Philae, la soixantième partie qui va ici nous préoccuper et nous aider peut être à mieux comprendre.

De Giseh à Philae nous trouvons 3600 grands stades dit Egyptiens, ou 36000 côtés du carré Sa, unité de surface de l'ancienne Egypte. Le carré Sa a en effet une diagonale de 50 meh nessou et son côté est de 18,512 mètres, dixième de ce stade !

Si nous formons le carré avec la distance Gizeh- Philae du 30ème au 24ème parallèles comme diagonale, le côté du grand carré obtenu sera de 900000 meh nessou de côté, mais aussi de 45 Itérou !

Curieux qu’Eratosthène ait par la suite rajouté 2000 stades portant le nombre total qu’il octroie à la circonférence de 250000 stades, à 252000 stades qui ne sont plus alors les 8/5 du stade d’Aristote, mais qui retrouve par les 252000, une division possible par 60…

Pourquoi 60 ? Pourquoi auparavant avoir pris un stade et conséquemment un nombre de stade de la circonférence non divisible par 60 et puis de se rétracter pour l’obtenir !

Curieusement la distance sur le tropique qui croise le méridien de Gizeh jusqu’à Philae est de 177300 mètres, c’est une quadrature avec le petit stade puisque 1000 petits stades Egyptiens, 100000 mètres seront le rayon du cercle de même surface que le carré de cette distance.

Même distance d’ailleurs de Gizeh jusqu’au haut du delta de la méditerranée, 1773000 kms, mais je le conviens, pouvait être différent il y a 5000 ans, quoique...
(Cliquer sur l'image)


Nous avons rajouté le parallèle ou se situe le temple d‘Abu Simbel qui nous a bien étonné de le trouver très exactement à 1000 grands stades Egyptiens du parallèle de Philae et à 4600 grands stades Egyptiens du parallèle de Gizeh.

Nous ne trichons pas, ne voyons pas l’intérêt, nous reprenons les distances données par le satellite…Nous avons soif de précisio!

Bien sûr les Egyptiens connaissaient parfaitement chacun de leur 42 nomes, puisqu'il en est donné les dimensions de chacun, gravés sur la chapelle blanche de Sésostris 1er à Karna.

Et de même la longueur totale de 106 Itérou du pays de Kemet correspondant à la distance du haut du delta jusqu' à la forteresse de Mirgissa créée par Sésostris 1er pour délimiter la porte sud du pays de Kemet!?...soit la 36 -ème partie de la circonférence de la terre.
(Cliquer sur l'image, la ligne jaune de 106 itérou ou 1110.032 kms)

De plus le temple d'Abu Simbel est à l’ouest du méridien de Gizeh à une distance de 223, 6 kms de Philae, ce qui est la racine de 5 de 1000 petits stades Egyptiens.

Nous voyons à ce stade, sans jeu de mot, que notre géomètre lambda Egyptien a de quoi remonter les bretelles du Béta d’Alexandrie, comme le nommaient ses pairs, qui n’a fait finalement que puiser dans les archives disponibles à son époque, le géomètre Egyptien ayant derrière lui plusieurs millénaires de pratique, de savoir faire et de faire savoir, malheureusement brulé par César....

Observons le remarquable et remarqué emplacement géodésique du temple de Louqsor qui est le simple rabattement du côté de notre carré losangé qui joint Gizeh au parallèle de Philae.

Peccadille pour notre Egyptien qui a en tête le cadastre du pays de Kemet qu’il doit recadrer à chaque crue du Nil et cela du Nord au Sud et de l’est à l’ouest, rien de nouveau.

Observons, mais pour certains, c’est le sein qu’ils ne sauront voir!

J’en ouvre pour ma part déjà la bouche de bonheur devant la distance qui sépare le parallèle d’Amarna, de notre vénérable Akhenaton, et de celui de Gizeh qui est de 1000 petits stades Egyptiens passés par notre très beau Phi carré que nous aimons tant, que nous aimons tous...

Distance 2618 petits stades Egyptiens et sur le parallèle au croisement du méridien de Gizeh, 261.8 petits stades Egyptiens

Nous retrouvons des analogies avec la carte d'Imola de Da Vinci.
(Cliquer sur l'image)
le carré centrale, comme la poule carrée aux œufs d’or, nous pond deux soleils, le premier est en quadrature périmétrique, malheureusement périmé aujourd’hui car nos Elites se moquent bien des quadratures…

Le premier soleil ayant pour diamètre 6000 petits stades Egyptiens, permet aux carré et cercle de danser les mêmes périmétries de 3600000 meh nessou, nous rappelant ainsi fort heureusement le corps de la première chapelle de Toutankhamon, inscrite elle aussi dans un cercle de 36 meh nessou de circonférence, avec sa diagonale de 6 mètres, tout comme la partie circulaire au sol de Sudama à Barabar qui fait aussi 6 mètres de diamètre( 5.996 mètres au laser 3 D) …( et j’en ai plein mon sac, mais le bouquet du feu d’artifices viendra en tant et en heure.)

le deuxième soleil a même surface que notre carré qui fait je le rappelle 900000 meh nessou de côté.

Mais que nous réserve donc cette quadrature des aires, quels airs nous chante -elle !

C’est très simple car pas besoin de calculer, il suffit de prendre la distance sur le parallèle de Philae, du croisement avec le méridien de Gizeh jusqu’à Philae, nous avons 177,3 kms, multipliés 3 fois deviennent l’exact diamètre du cercle de même aire que notre carré de départ, dont la diagonale joint Gizeh au parallèle de Philae.

(Cliquer sur l'image)

Petite précision, le temple de Louqsor se situe à l’est du méridien de Gizeh et ce à 1500 petits stades Egyptiens, même que ce serait plus 1501 avec grande précision, puisque 1501 et 10000 en triangle rectangle nous donnent l’angle de 6 degrés, angle de l’ombre du soleil au solstice d’été à midi que donne le fil à plomb à Gizeh!

(Cliquer sur l'image)


Petit zoom pour mieux voir la précision de notre géomètre Egyptien.

Nous pouvons bien voir ici le rayon du cercle bleu du parallèle de Philae jusqu’au parallèle d’Abu Simbel qui sont séparés de 1000 grands stades Egyptiens ( stade de 100 hépet de 99 djébâ)

Eratosthène, votre belle démonstration par le raisonnement géométrique, vous ne l’avez évidemment pas inventé, car il n’y a pas d’autre démonstration pour obtenir la circonférence de la terre que celle que vous avez utilisé et qu’ont donc bien évidemment utilisée les mathématiciens dont parle notre Alpha Aristote.

Les anciens Egyptiens n'avaient pas que du savoir faire et des navets, mais aussi le faire savoir en conséquence

(César est malheureusement passé par là, en oubliant son mégot sur une étagère de la bibliothèque d'Alexandrie)

NB: Envoyé par erreur le brouillon, perdu le corrigé, puis allé courir mon quart Marathon, désolé pour les fautes et mal dit, corrige au fur et à mesure.

Toujours sur cette distance de Gizeh à Philae.
( Cliquer sur l'image)

C'est très simple mais édifiant...

Première horizontale, c'est le parallèle de Gizeh le 30ème parallèle.

Deuxième horizontale, le parallèle de Philae, le tropique 24°( ancien empire) distant de celui de Gizeh de 3600 grands stades Egyptiens, diagonale d'un grand carré de 900000 meh nessou de côté ou 45 Itérou.

Troisième parallèle, simplement à 3760 grands stades Egyptiens, une base de 1000 grands stades Egyptiens, formant un triangle rectangle avec Gizeh

Et bien partant de ce triangle de 3760 grands stades Egyptiens de hauteurs et de base 1000 grands stades Egyptiens, il nous suffira de poser le point 3600 grands stades Egyptiens pour obtenir le parallèle de Philae mais aussi la position exacte de Philae sur son parallèle, puisque nous avons là deux triangles semblables superposés, mais pas égaux.

La base du triangle avec Philae mesure 177.245386 kms, 100 parfaits racine de Pi, le vrai faisant 1.77245385

La base du triangle suivant fait évidemment 185.122958, 100 Phi carré sur racine de 2

Et comme le petit stade est en rapport 1 et Phi carré avec le grand stade multiplié par racine de 2, voilà une magnifique quadrature traçable à la règle et le compas avec la valeur d'un Pi à 3.1415926, il n'est pas de plus belle valeur rapprochée traçable de Pi.

Ce qui signifie que sur un triangle rectangle 376 et 100, si on pose un point à 360 et une parallèle à la base, nous aurons deux bases de proportion entre elles comme 45 et à 47

C'est justement le rapport incroyable qu'il y a entre Phi carré racine de 2 et racine de Pi, au milliardième près

C'est en cherchant en 1981 sur un plan géographique de l'Egypte que je suis tombé dessus avec ma machine à calculer.

Le hasard!?

il a bon dos le hasard...

A partir du moment où une civilisation a tendu un cadastre, remis chaque année au traçage complet à cause des crues du Nil par ses géomètres attitrés à chaque 42 nomes et à chaque parcelle, cette immense toile d'araignée restée au plafond du mental et du ciel, chaque cité et chaque architecture ainsi posées...

Ne l'étaient jamais par le hasard...

Splendide Jean François ! Merci !

Cela répond à certains ignorants sphériques :



Ne t énerves pas trop, doc ne supporte pas trop non plus :

A propos des 360 et 376....

https://www.espaces-formes-et-contours. ... =112#p2306

« Ceux d'entre les mathématiciens qui essayent d'apprécier ou de calculer la grandeur de la circonférence terrestre, disent qu'elle peut aller à 40 myriades de stades; d'où l'on peut conclure non seulement que la masse de la Terre est de forme sphérique, mais qu'elle n'est pas grande, si l'on compare cette grandeur à celle des autres astres. »

Traduction habituelle...

Notre ami Steph, nous rapporte que dans le texte en Grecque, il n'y est écrit que 40 myriades, l'unité n'est pas nommée...

Merci de cette précision qui nourrit aussi très bien notre cause

Aristote rapporte ce qu'en disaient les mathématiciens de son époque...

Il est évident que ce ne peut être que des stades !

Mais notre modernité a donné une mesure à ce stade choisissant le plus grand...et ainsi démontré l'infériorité de la précision donnée par Aristote face à Eratosthène un siècle plus tard par soucis d'une cohérence historique moderne où tout serait constamment en évolution sur la précision pour justifier notre superbe d'aujourd'hui.

Il y avait à l'époque d'Aristote un stade de 100 mètres dit petit stade Egyptien et un stade de 185.12 mètres dit grand stade egyptien.

Je ne démontre rien, mais donner la mesure du grand stade pour Aristote n'est pas plus vrai que de donner la mesure du petit stade Egyptien.

Dans le premier cas Aristote nous donne une terre de 5 plus de volume que la terre réelle.

Dans l'autre Aristote donne l'exacte mesure de la terre...

Pourquoi toujours choisir pour ce qui est plus ancien, une erreur et incompétence plutôt qu'une vérité.

D'avoir choisi le grand stade n'est pas une science humaine de l'histoire, mais un choix politique qui façonne l'histoire à sa propagande.

D'autant que le sarcophage en quartzite du tombeau de Toutankhamon, son rectangle le plus grand, la corniche, fait 2.74/1.48 mètres.

2.74 est au grand stade Egyptien ce que 1.48 est au petit stade Egyptien !

2.74/1.48 est un rectangle de Phi carré sur la racine de 2, facilement traçable !

Il n'y a pas de hasard!

Parler de hasard serait une hypothèse nullissime vu le tsunami d'éléments gestuels analogues autant dans le cadastre Egyptien, que dans les créations architecturale, sculpturale et picturale...

Un carré en grand stade a une diagonale de 500 meh nessou.

Tout comme le carré Sa, mesure de surface, a une diagonale de 50 meh nessou, le dixième.

Le carré de petit stade a une diagonale de 270 meh nessou.

500/270 est bien un rapport Phi carré sur la racine de 2!

Le petit stade Egyptien est celui qu'a choisi Aristote pour nous révéler les dimensions de la terre, le petit stade qu'utilisait aussi Alexandre Le Grand !

Et nous, véritables imbéciles que nous sommes, nous lui attribuons la valeur du grand stade, sans même le savoir.


Comprenne qui peut...

Aristote a écrit la mesure exacte de notre terre.

Et Vitruve !

Oui, Vitruve, cela m'est revenu en mémoire en parcourant à nouveau le Chapitre IX de son Premier Livre

9. Peut-être s'étonnera-t-on que nous n'adoptions que huit vents, quand on sait qu'il en est un bien plus grand nombre, qui ont chacun leur nom. Mais, si l'on considère qu'après avoir observé le cours du soleil, la projection des ombres de l'aiguille du cadran équinoxial et l'inclinaison du pôle, Ératosthène le Cyrénéen a trouvé, avec le secours des mathématiques et de la géométrie, que la circonférence de la terre est de deux cent cinquante-deux mille stades, qui font trente et un millions cinq cent mille pas, et que la huitième partie de cette circonférence, occupée par chacun des vents, est de trois millions neuf cent trente-sept mille cinq cents pas, on ne devra plus être surpris, si, dans un si grand espace, un vent, eu soufflant de côté et d'autre, en se rapprochant et en s'éloignant, semble en faire un plus grand nombre par ces divers changements.

31500000 est l'arrondi de 31428000 !

Il y avait donc bien un pas, celui de la marche et un pas de course à pied
Déjà en Égypte à la fête Heb Sed pharaon a une bien belle foulée, tout comme la mienne tout à l'heure en courant mon 10000 mètres.

Trempé mes pieds nus dans le plâtre, parcouru quelques foulées, puis mesuré... 1.27 mètres ma foulée...

Et bien notre Vitruve parle bien évidemment ici d'un pas de coureur et non de marcheur !

Si 31500000 est l'arrondi de 31428000, ou pas, il est très proche du nombre Pi...et Vitruve n'est pas un ignare, il connait le 22/7 pour le cercle

1.27 mètre pour la pas, sachant qu'il y a 125 pas dans le stade d’Ératosthène...La terre était donc pour ce dernier 40005 kilomètres de nos jours....

Aristote 40000 km et Ératosthène 40005 km !

Mais il reste une belle palette de mesure puisque 31500000, périphérie de la terre son diamètre sera bien évidemment 10000000 de pas de coureur.

Pour Ératosthène comme pour Vitruve le sens de tout cela est que le pas donne à la fois la périphérie et le diamètre dans un rapport 3.15/1

Pi et l'unité !

Merci Vitruve cela nous permet de comprendre enfin le choix du stade par Ératosthène.

Vitruve donne la source de ce stade qui est de 125 pas d'un coureur...