Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ? - Espaces, formes et contours

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Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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MichelBL
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Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 12 AoĂ»t 2020, 19:26

Bonjour Ă  tous,
Sur le plan environnemental s’expriment de légitimes inquiétudes concernant divers polluants (plastique, monoxyde de carbone, oxyde d’azote, métaux lourds, microparticules, divers perturbateurs endocriniens, produits dits « phytosanitaires » …), la surpopulation, le problème de l’eau et de la biodiversité… Mais, au moindre pic de chaleur dans la saison estivale les esprits s’échauffent jusqu’à comparer, pour certains, notre atmosphère avec celle de Vénus pour justifier l’effet serre du CO2, sachant que sur Vénus vous avez plus de 96% de CO2 et que la température est de 462°C et dans notre atmosphère 0,04%. Ce rapprochement est un tantinet disproportionné.
Il y a quelques temps la presse s’était faite l’écho d’une prédiction du GIEC annonçant que les glaciers de l’Himalaya auraient disparu en 2035. Même avec une élévation de température de quelques degrés en raison des très hautes altitudes de la chaine himalayenne variant entre 7000 à plus de 8000 m, il ne me semble pas que ces glaciers pourraient être affectés et que demain on pourrait y planter des palmiers.
Cette prophétie a provoqué de fortes réactions de la part de la communauté scientifique internationale, ce qui a obligé le GIEC à revenir sur ses allégations et à parler d’une petite erreur de sa part… et comme pour minorer sa responsabilité le GIEC ajoute que les climato-sceptiques se sont précipités sur l’erreur « pour discréditer l’ensemble du travail du GIEC ».

Capture d’un extrait du 5ème rapport du GIEC :
glaciers de l'Himalaya
glaciers de l'Himalaya

Les médias sont-ils neutres ou mal informés ? France inter, qui mériterait la palme en la matière, invite Jean Jouzel du GIEC le 3 août puis de nouveau le 9 août de ce mois, de façon très rapprochée, pour bien enfoncer le clou et désigner le CO2 comme le principal coupable du changement climatique. Mais, ce n’est pas une moyenne de 0,04 % de CO2 c.a.d. 400 molécules de CO2 pour un million de molécules d’air qui peuvent avoir, à ces doses homéopathiques, une grande influence sur les variations climatiques comme l’affirme J.Jouzel de manière répétitive et hypnotique sans apporter la moindre ébauche de preuve. Par rapport à Vénus nous avons encore un peu de marge.

Dans le 5ème rapport du GIEC, nous pouvons également lire :

« Quand l’activité solaire augmente, la planète reçoit plus d’énergie et se réchauffe. » Ce qui est parfaitement logique.
Quelques lignes plus loin il est écrit le contraire :
« Le soleil « cause du réchauffement climatique » est l’un des mythes les plus tenaces et les plus communément répandus… » et il est précisé que le rôle du soleil dans le réchauffement n’est plus valable pour les « dernières décennies », le coupable serait, sans contestation, les 0,04% de CO2. Il s’avère qu’en été plus le soleil paraît « haut » plus l’énergie du rayonnement se concentre et plus la température monte (v. un précédent thème intitulé « Records de température et … »).

2ème extrait de ce 5ème rapport du GIEC intitulé « pour en finir avec les idées reçues… »
. Message qui a mystérieusement disparu ces derniers jours et que, par précaution, j’avais archivé.
Le mythe Solaire
Le mythe Solaire

Le problème est l’absence de débat contradictoire, les médias ne pourraient-elles pas inviter également des scientifiques de terrain tels des astrophysiciens, des paléogéologues (spécialistes des climats anciens), des glaciologues, des palynologues (experts en reconstitution des climats à partir de l’étude des pollens fossiles), pour faire le point ?
Amitiés.
Michel
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MichelBL
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 17 AoĂ»t 2020, 21:23

Voici un message que l'on vient de me faire parvenir en privé :

" Pour aider les Verts Ă  mesurer leurs Certitudes! [/b]

Quelques informations sur les canicules depuis les "Chevaliers de la Table Ronde "
> > > > >

VoilĂ  ce que l'on pouvait lire dans un journal anglais, le Ampshire Advertiser from Southampton, le 17 juillet....1852 !
Vous pouvez trouver le fac similé sur internet.

> > > > >
> > > > > " En 1132 en Alsace les sources se tarirent et les ruisseaux s’ asséchèrent.
Le Rhin pouvait être traversé à pied.
En 1152 la chaleur était si intense que l’on pouvait faire cuire des oeufs dans le sable.
En 1160, Ă  la bataille de Bela (en Hongrie), un grand nombre de soldats moururent en raison de la chaleur excessive.

> > > > >
> > > > > En 1276 et 1277, en France, la récolte d’avoine et de seigle fut totalement détruite par la chaleur.
En 1303 et 1304 la Seine, la Loire, le Rhin et le Danube pouvaient être traversés à pied.
En 1393 et 1394 un grand nombre d’animaux tombèrent morts et les récoltes anéanties en raison de la chaleur.
> > > > >
> > > > > En 1440 la chaleur fut excessive.
En 1538, 1539, 1540 et 1541 les rivières européennes étaient littéralement asséchées.
En 1556 il y eut une sécheresse généralisée dans toute l’Europe.
En 1615 et 1616 la canicule s’abattit sur la France, l’Italie et les Pays-Bas.
En 1646 il y eut en Europe 56 jours consécutifs de grandes chaleurs.
En 1676 des canicules Ă  nouveau.
Les mêmes évènements se reproduisirent au XVIIIe siècle.
En 1718 il n’y eut aucune pluie entre les mois d’avril et octobre .
Les récoltes furent brûlées, les rivières asséchées et les théâtres fermés à Paris par ordre du Préfet de police en raison des températures excessives. Le thermomètre enregistra 36 degrés Réaumur ( 45 degrés C) à Paris.
Dans les jardins de la banlieue arrosés les arbres fruitiers fleurirent deux fois pendant la saison.
> > > > >
> > > > > En 1723 et 1724 les températures étaient extrêmes.
En 1746 l’été fut particulièrement chaud et sec et les récoltes furent littéralement calcinées.
Pendant plusieurs mois il n’y eut aucune pluie.
En 1748, 1754, 1760, 1767, 1778 et 1788 les chaleurs d’été furent excessives.
En 1811, l’année de la comète, l’été fut très chaud et le vin très bon y compris à Suresnes.
En 1818 les théâtres parisiens restèrent fermés pendant un mois en raison des chaleurs excessives, la chaleur avait atteint 35 degrés C.
En 1830, alors que des combats avaient lieu, le thermomètre afficha des températures de 36 degrés C les 27, 28 et 29 juillet.
En 1832, lors de l’insurrection du 6 juin, le thermomètre releva une température de 35 degrés.
En 1835 la Seine était presque à sec.
En 1850, au mois de juin, au cours de la seconde épidémie de choléra de l’année le thermomètre afficha 34 degrés".
> > > > >
> > > > > Il s'agit bien d'un extrait de journal de 1852 et non pas de je ne sais quel site complotiste.

> > > > > Je vous mets en pièce jointe l'interview de l'historien Emmanuel Le Roy Ladurie, parue dans Libération lors de la canicule de 2003, (et rediffusé en août 2018) au sujet de celle de 1718 qui aurait fait 700 000 morts !
Libération précise que son livre "Histoire du climat depuis l'an mil" (Flammarion 1967) reste la référence en la matière, ce qui est plutôt un bon point de la part de ce journal qui ne porte pas vraiment les climato-réalistes dans son cœur...
Édité en 1967, à une époque où on ne parlait pas encore de réchauffement climatique, l'éminent auteur de ce livre ne peut pas être accusé de vouloir prendre le contre-pied de la tendance d'aujourd'hui.
Vous pouvez le trouver sur internet pour 9 €. A ce prix là, il ne faut pas se priver de s'instruire.
> > > > >
> > > > > Libération, serait donc devenu complice des climato-septiques, ceux qui osent rappeler l'importance des cycles naturels sans accuser uniquement le CO2, gaz à effet de serre partiellement d'origine anthropique ?
Ceux qui font remarquer qu'à une époque où il n'y avait pas encore le moindre soupçon de début de révolution industrielle (avec son CO2, gaz vital, que l'on nous présente pourtant comme un polluant), il y avait déjà eu de très nombreuses vagues de chaleurs extrêmes ainsi que des sècheresses catastrophiques, entrainant des centaines de milliers de morts...
> > > > >
> > > > > Je ne comprends plus rien au sujet de la relation CO2/températures qu'on nous assène pourtant comme étant un dogme indiscutable, et vous ?
> > > > >
> > > > > C'est vrai que nous vivons une très forte et inhabituelle canicule, mais à l'évidence il n'y a rien de nouveau sous le soleil !
> > > > >
> > > > > PS : amusez-vous à taper "sècheresse 1718" sur Google et vous en saurez beaucoup plus.
A moins que vous ne vouliez rester sur la certitude que la canicule actuelle est un phénomène exceptionnel qui n'a encore jamais eu d'antécédents, car provoqué par l'activité humaine. "

Bonne lecture.

Michel
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MichelBL
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 22 AoĂ»t 2020, 21:02

Histoires de variations climatiques dans l’Égypte antique.

L’égyptologue Audran Labrousse, grand spécialiste de Saqqarah, après de très longues années d’une enquête très minutieuse, a pu reconstituer l’histoire mouvementée de l’écroulement de l’Ancien Empire marquant la fin de la construction des pyramides. Il cite un papyrus qui fait état de l’ampleur d’un changement climatique et démontre que la savane est remplacée par le désert.

À la fin de cette période, c-à-d vers 2200 av. J.-C., l’Egypte plonge dans le chaos. Des temples sont incendiés, les sépultures des pharaons et des reines sont violées et pillées et on assassine à l’occasion. Avec l’affaiblissement de l’autorité étatique, l’Egypte entre dans une période de grande insécurité, elle est parcourue par des bandes armées et les différentes provinces font sécession les unes après les autres. Il faudra attendre 200 ans pour que ce pays retrouve la paix et que s’installe une nouvelle dynastie.

Différents travaux nous orientent vers un changement climatique assez brutal. Une équipe de paléo-géologues britanniques a étudié les variations climatiques sous l’Ancien Empire. Ils se sont en particulier appuyés sur l’étude des sédiments du lac Tana principale source du Nil bleu, situé en Éthiopie. Ce qui leur a permis de démontrer que ce lac a perdu la moitié de son volume au cours de cette période de déliquescence du royaume d’Égypte. Cette grande sécheresse est à l’origine du déclin et a généré une grande famine. À ce phénomène climatique, on ne peut raisonnablement lui attribuer une origine anthropique (humaine).

Les Égyptiens ont connu, au cours de leur longue histoire, d’autres phénomènes climatiques, ils invoquaient les dieux pour faire revenir la crue qui finissait par se manifester. Dans la revue Pour la Science du 23 avril 2010, Sébastien Bohler écrit « Le diocèse de Lyon propose dans son carême écologique » de « faire pénitence pour le bien de l’environnement. Le réchauffement climatique serait-il un péché ?».

Lorsque les champs manquaient d’eau, le brave et respectable curé de ma paroisse sollicitait l’intervention d’un présumé spécialiste en météo, saint Médard. D’impressionnantes processions étaient organisées au travers du village accompagnées de pieuses invocations. En ces jours mémorables, l’église était bien remplie, même ceux qui d’ordinaire étaient au bistro avaient déserté leur quartier général pour se joindre à la procession.

Toutefois, pour nous mortifier, saint Médard nous a fait lanterner pendant plusieurs semaines avant de déclencher un véritable déluge sur la commune et ses alentours. Ce saint, qui n’était pas tombé de la dernière pluie, savait pertinemment que plus on s’éloignait de la précédente averse, plus on se rapprochait de la suivante. Avec le retour des précipitations, le dimanche suivant le propriétaire du café avait retrouvé toute sa fidèle clientèle.
Bon WE Ă  tous.

Michel
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Jean François
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par Jean François » 24 AoĂ»t 2020, 10:39

https://www.climato-realistes.fr/benoit ... sur-cnews/

Toujours ces discussions de plateau télévisé au pas de course qui relèvent de la performance...

Confrontation d'un politique et d'un mathématicien...
jeanfrancoiswarein@gmail.com
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Jean François
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par Jean François » 24 AoĂ»t 2020, 10:40

https://www.climato-realistes.fr/michae ... entalisme/

Cela jette un froid...et pendant que s'agitent les révoltes sur l'os à ronger du réchauffement climatique, un boulevard est toujours ouvert pour la finance mondiale dérégulée qui nous mène tout droit vers un 1929, mais cette fois ci avant 2029... :D
jeanfrancoiswarein@gmail.com
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MichelBL
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 04 Sep 2020, 18:48

Merci Jean François pour ton excellente recherche sur le net.

Pour nos lecteurs et pour résumer, voici quelques extraits de morceaux choisis de cette publication:


https://www.climato-realistes.fr/michae ... entalisme/

La confession d’un militant environnementaliste repenti

Michael Shellenberger est le fondateur de l’Environmental Progress, une organisation de recherche et de politique, qui lutte pour une énergie propre et une justice énergétique afin de réaliser la prospérité pour tous. Il est aussi fondateur du think tank Breakthrough Institute, qui est un centre de recherche visant à identifier et à promouvoir des solutions technologiques aux défis environnementaux et au développement humain. Il a publié plusieurs ouvrages et articles.
Un livre de plus de 400 pages, dont cent vingt de notes rigoureuses et de références précises. Un livre dont Tom Wigley, climatologue (Université d’Adelaïde), ex-chercheur au National Center for Atmospheric Research et membre de l’American Association for the Advancement of Science[3], dit ceci :
« Le livre pondéré et revigorant de Michael Shellenberger traite en profondeur un éventail de questions environnementales et expose les falsifications des scientifiques, les distorsions partisanes d’organisations environnementales et les biais suscités par des intérêts financiers. Ses conclusions s’appuient sur des exemples, des arguments convaincants et de poids, des faits et des sources documentés. Apocalypse Never pourrait bien être le plus important livre sur l’environnement jamais écrit. » (Revue de presse Amazon) [4]
Le livre de Michael Shellenberger est la confession d’un repenti, celui d’un homme qui s’excuse, et non seulement pour lui, mais pour nombre d’environnementalistes partout dans le monde :
« Au nom d’environnementalistes du monde entier, je voudrais m’excuser formellement pour la peur climatique que nous avons créée au cours de ces trente dernières années. Un changement climatique se produit. Ce n’est pas la fin du monde. Ce n’est même pas notre plus sérieux problème environnemental. »[5]



Les causes de l’alarmisme selon Shellenberger : « financières, politiques et idéologiques »
Les citations qui suivent sont tirées de l’article du Point :
« (…) mais il est également vrai que le développement économique nous a rendus moins vulnérables, ce qui explique pourquoi le nombre de victimes de catastrophes naturelles a diminué de 99,7%[10] depuis son point culminant de 1931. Cette année-là, 3,7 millions de personnes sont mortes des suites de catastrophes naturelles. En 2018, 11 000 seulement. Et cette baisse s’est produite au cours d’une période où la population mondiale a quadruplé. »
Peut-on continuer à tolérer cette incessante chasse aux sorcières mise en œuvre pour empêcher les gens de parler ? Peut-on continuer à dire que le problème est clos, que la science a dit son dernier mot, à la manière de ces climato-idéologues qui se sont déchaînés récemment contre une femme politique et professeure d’université, qui avait osé une question jugée hérétique par des commissaires du peuple ? Peut-on continuer à dilapider des milliards dans un combat absurde contre une prétendue apocalypse, une affaire montée de toutes pièces ? Faudra-t-il continuer à tolérer que des chercheurs sérieux puissent perdre leur job pour ne pas avoir cru aux thèses officielles sur les changements climatiques ? Admettrons-nous encore longtemps qu’un enseignant soit traîné dans la boue et voué aux gémonies par une presse complice, pour avoir répondu à une question d’élève sur le climato-réalisme ?

Quant à Judith Curry, spécialiste en thermodynamique
, elle affirme que « presque la moitié du réchauffement constaté au XXe siècle s’est produite lors de sa première moitié, avant le développement mondial ». Pour elle, « la climatologie est devenue un parti politique de tendance totalitaire », « une science douteuse au profit d’un projet politique ».[22]

Plus de détails sur Judith Curry.[23]

23] (https://www.congress.gov/115/meeting/ho ... io-CurryJ-). « Curry’s research interests span a range of topics in weather and climate. She has authored over 180 scientific papers, and is author of the textbooks Thermodynamics of Atmospheres and Oceans, and Thermodynamics, Kinetics and Microphysics of Clouds…..

Et voici la conclusion extraite de ce document :

L’aveu d’un homme du sérail, avec un impeccable passé de militant, vient s’ajouter à l’analyse de milliers de scientifiques qui se sont exprimés dans des sens voisins. Des scientifiques qui pour nombre d’entre eux ont quitté le GIEC ou son obédience pour des raisons voisines et convergentes.
Cette brèche ouverte dans l’impénétrable monolithisme des théories climatologiques officielles fera-t-elle école ? La vérité retrouvera-t-elle ses droits ? La lumière percera-t-elle sous deux décennies d’obscurantisme idéologico-politique ? Le mur de Berlin a bien fini par tomber…
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MichelBL
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 06 Sep 2020, 11:15

Bonjour Ă  tous,

Voici quelques extraits sur les croisières du Jean Jouzel du GIEC que vous pouvez lire sur le site de Libération :


https://www.liberation.fr/checknews/202 ... es_1775683

L'ancien vice-président du Giec a participé à huit croisières entre 2007 et 2017. Il a aujourd'hui arrêté de se rendre sur ces navires, admettant que ces séjours sont « à contre-courant de la lutte contre le réchauffement climatique»…
«J’ai été invité avec mon épouse, et à deux reprises nous avons été accompagnés par nos enfants (et petits-enfants pour l’une d’entre elle) qui ont bénéficié de prix préférentiels.»...

Or, comme le rappelait Libération cet été, ce mode de loisirs est extrêmement polluant. Selon Libé, « les bateaux de croisière ne représentent qu’un peu plus de 300 engins sur les 60 000 navires de commerce en exploitation dans le monde, mais ils restent une des vitrines de la consommation massive de combustibles fossiles du transport maritime ». L’article poursuivait : «D’après une étude récente de l’ONG Transport & Environment, les 94 bateaux du seul croisiériste Carnival ont émis en 2017 dix fois plus de cette substance acidifiante et toxique pour l’homme que les 260 millions de voitures européennes»...

Si vous m’autorisez un peu d’ironie, j’ajouterai que ce sont les ours blancs qui vont être à la fête…

Bon dimanche.

Michel
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MichelBL
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 14 Sep 2020, 18:48

Les ours blancs sont-ils menacés de disparition ?

La banquise a été choisie comme quartier général des ours polaires. Cette banquise est perpétuellement en mouvement sous l'action des vagues, des courants et du vent. Elle ondule, se fragmente continuellement, des chenaux s'ouvrent, se referment. Les blocs entrent en collision et forment des crêtes pouvant dépasser le mètre... ce n'est pas une belle patinoire.

S’il vous prend l’idée de poster sur internet un selfie avec un ours, il faut être en capacité de courir vite et à plus de 40 km/h.

Lorsque l'ours part en chasse, il s'installe sur un morceau de glace à la dérive et attend qu’un phoque pointe son nez pour plonger et le prendre en chasse sous la banquise. Par ailleurs, pour capturer une telle proie, il faut être un excellent nageur.

Les médias se sont laissées piéger par une photo montrant un ours sur un morceau de banquise à la dérive afin d’émouvoir les cœurs tendres en nous laissant croire qu'il était en déperdition. Par ailleurs, on a bien voulu nous montré un vieil ours en fin de vie, perclus de rhumatismes, ayant des difficultés de se déplacer et étant réduit à faire les poubelles. Cela me fait penser à un journaliste rencontré en Afrique qui pour montrer la misère au Tchad balançait des bonbons dans les poubelles pour attirer les enfants et mettre en avant la pauvreté.

Les ours sont actuellement protégés. Leur nombre dépasse les 20 000 têtes, ce qui met en danger les populations de phoques. Si l'on ne prend pas de mesures pour protéger cette espèce, il n'y en aura plus assez et les ours mourront de faim.

Michel
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Olivier
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par Olivier » 19 Sep 2020, 00:03

Bonsoir Michel,

nous sommes en effet un peu loin de nos préoccupations sur les espaces formes et contours, sauf bien sûr lorsqu'on se soucie de l'histoire du déclin des anciennes civilisations, car on y voit aussi à l'oeuvre l'équivalent de nos barbares écologistes confinateurs et autres néo nazis zététiciens promulguant le recyclage leur "démocratie sanitaire" totalitaire de soumission et d'assistance misérable princière à la place du slogan désuet du droit au travail sensé engendrer la liberté.


phpBB [video]
Amitiés,
Olivier
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MichelBL
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 19 Sep 2020, 19:22

Bonjour Olivier,

Cette vidéo est percutante et pleine d'humour. Tout est dans la forme et les contours comme pour la banquise qui ondule, se fracture, se ressoude ;). L'auteur dit les choses avec beaucoup de justesse, finesse et met l'accent où ça fait mal.

Finalement, les écologistes politiques nous donnent la plus déplorable image de l'écologie, contrairement à la vraie, qui consiste à regarder notre environnement, dont nous faisons partie, d'une manière plus rigoureuse et raisonnée au lieu de nous servir un discours apocalyptique et mensonger sur le dérèglement climatique, sur les sapins, le tour de France...

Ces derniers jours, on pouvait lire un peu partout "Les écolos sont-ils devenus fous ?" Ces extravagances font énormément de tort aux authentiques écologistes, certes moins bruyants, mais qui s'appuient sur de données scientifiques et qui œuvrent discrètement dans des associations mais avec efficacité, loin des lobbies.

La bagarre entre les différents courants de l'écologie politique a commencé pour la présidence de la république.

Merci encore Olivier pour ce document. Je vais l'envoyer autour de moi.

Amitiés

Michel
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MichelBL
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 28 Sep 2020, 13:04

Hello,
En ces derniers jours de septembre, le site de la météo agricole affiche de brutales chutes des températures avec des moyennes saisonnières inférieures allant jusqu'à 6°à 1°C en dessous des moyennes.
Maxime de Sars, historien de L'Aisne, écrivait :
" Pendant l'été 1480 les chaleurs furent si excessives qu'on ne se rappelait pas d'en avoir ressenti de pareils, on récolta peu de vin et de blé.
L'hiver suivant fut si extraordinairement long qu'il gela pendant 9 mois consécutifs.
"

Sur nos montagnes la neige s'est invitée très précocement. Comme on ne connaît pas toutes les causes de cette variabilité climatique, le CO2 sert de bouc émissaire et est chargé de tous les pêchés.
Couvrez-vous bien !
Michel
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MichelBL
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 06 Oct 2020, 20:54

Ă€ propos des inondations dans le var
Extrait www.climato-realistes.fr/a-propos-des-i ... ns-le-var/
6 octobre 2020 / Association des climato-réalistes
Communiqué de l’Association des Climato-Réalistes
Paris, mardi 6 octobre 2020

Suite à la tempête Alex qui a frappé le nord-ouest de la France métropolitaine, un épisode méditerranéen a provoqué une crue de grande ampleur causant au moins quatre décès, la disparition de huit personnes, douze autres étant toujours recherchées. Comme d’habitude, certains médias en ont aussitôt profité pour accuser le « réchauffement climatique » d’être responsable de cette tragédie, notamment les décodeurs du journal Le Monde affirmant en s’abritant derrière l’avis de météorologues, que cet épisode « est directement liée au réchauffement climatique ».

En réalité, cet événement n’a rien à voir, comme cela est reconnu par Météo France
qui indique que « en l’état actuel de l’analyse des observations, on ne note pas de tendance marquée à l’augmentation du nombre d’épisodes de pluies diluviennes dans le Sud-Est de la France depuis qu’on peut les recenser de manière précise (à partir de 1958) ». S’agissant des conséquences, rappelons que dès juillet 2012 une mission parlementaire avait pointé l’urbanisation excessive de la région.

L’Association des Climato-Réalistes en appelle donc à la lucidité de chacun pour que les causes réelles du drame soient mises en lumière, et ainsi permettre de faire en sorte que celui-ci ne se reproduise pas. Accuser « le climat » n’est d’aucune aide lorsque les explications relèvent en réalité de la gestion locale de l’environnement.

Article complet sur www.climato-realistes.fr/a-propos-des-i ... ns-le-var/
Site scientifique des plus sérieux.

Bonne lecture.
Michel
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Olivier
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par Olivier » 06 Oct 2020, 22:28

Bonsoir Michel,

oui, le "climat" a toujours bon dos, c'est comme pour les incendies criminels aux états unis.

Les déréglementations pour la spéculation ou à des fins politiques ou géopolitiques, et ceux qui les ont permises, sont ainsi déchargés de responsabilités.

BientĂ´t des nouveaux ponts ou ouvrages d'art vont s'effondrer, ce sera aussi la faute au climat ...

Et pas du tout à cause du PCC, de ses masques totalitaires et de la gente à son service bien sûr !
Amitiés,
Olivier
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MichelBL
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 20 Nov 2020, 09:15

Bonjour,

Après l'épisode des sapins à Bordeaux, le tour de France à Lyon et les engagements de réduction de 40 % des émissions des gaz à effet de serre... Du nouveau sur l'hystérie climatique.

Voici le Communiqué ACR:

Contre l’imposition à la France d’un agenda climatique nuisible

Communiqué de l'Association des Climato-Réalistes


Paris le 19 novembre 2020

Ce matin, le Conseil d’État a donné trois mois à l’Etat pour justifier que ses engagements de réduction de 40% des émissions de gaz à effet de serre en 2030 devrons être respectés.

Rappelons que le conseil d’Etat avait été saisi en janvier 2019 par Damien Carême, le maire écologiste de Grande-Synthe, (élu depuis député européen et qui a donc quitté son mandat), qui estimait que sa commune (département du Nord) était menacée de submersion par « l’inaction climatique » du gouvernement. Lors de l’audience du 9 novembre, le conseil d’Etat a suivi les recommandations du rapporteur public, qui avait alors souligné que « le cœur du sujet est le calendrier des actions », puisqu’il « y a bien urgence climatique aujourd’hui ».

Alors même qu’il est bien établi que cette « pseudo urgence » n’est qu’un leurre, cette décision du Conseil d’État nous met sur le chemin d’une judiciarisation croissante de la question climatique qui permet à des activistes d’imposer la mise en œuvre d’une idéologie régressive et dangereuse. Elle pourrait par exemple inciter le Gouvernement à revenir sur sa décision de ne pas augmenter la taxe carbone, dont on sait l’impact social désastreux et contre laquelle s’était dressé le mouvement des Gilets Jaunes.

L’hystérie climatique n’a pour effet que d’affaiblir notre pays et d’appauvrir les plus démunis. Deux études scientifiques (Bjorn Lomborg et le MIT) ont montré à l’époque de l’Accord de Paris que les « engagements » pris ne pourraient de toute façon avoir aucun impact significatif sur l’environnement. Les coûts associés, eux, sont hélas bien réels et de plus en plus insoutenables pour la collectivité.

L’absurdité de cette décision du Conseil d’État est d’autant plus grande que la France figure au cinquième rang mondial des pays environnementalement les plus vertueux comme le montre le classement international établi par l’université de Yale.

L’Association des Climato-Réalistes appelle donc les citoyens à ne pas subir sans réaction une telle décision, sans rapport avec les problèmes majeurs que traverse notre pays en ces temps de pandémie. Elle appelle chacun à interpeller leurs élus de tous bords pour leur faire connaître leur mécontentement.


Le Conseil d'Etat est un organisme législatif, mais pas un institut de recherche scientifique... Les caisses de l'État sont vides et de nouvelles taxes carbone ne risquent-elle pas de mettre la France de nouveau à feu et à sang ?
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MichelBL
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 09 Jan 2021, 15:07

Refroidissement climatique

Sur LCI quelques belles photos sur Madrid, la capitale d'Europe la plus chaude, où le ski et les chiens de traîneaux ont remplacé les voitures.

https://www.lci.fr/meteo/meteo-pires-ch ... 75047.html

Voici un aperçu des températures pour les jours avenirs à Madrid, le thermomètre doit descendre jusqu'à -10°C :
météo Madrid 9 au 15 janv.JPG
Ce sont les Canadiens qui vont ĂŞtre jaloux! Mais rassurez-vous, on n'a pas encore vu des ours blancs en plein centre de Madrid Ă  la Puerta del Sol (Porte du Soleil).

Couvrez-vous bien !

Michel
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MichelBL
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 10 Jan 2021, 10:35

Pour la France, sur le site "tameteo.com" vous pouvez lire :

"Cette première dizaine de janvier aura été véritablement hivernale, avec des températures inférieures aux normales de saison, de la neige jusqu'en limite de plaine, et un soleil excessivement rare dans certaines régions. Vendredi matin encore, on relevait de fortes gelées sur les régions du sud, avec -10°C à Aurillac, -9°C à Rodez, -6°C à Albi et -5°C à Toulouse, des valeurs tout de même assez remarquables dans ces régions."

Le CO2 serait-il en hibernation ? ;-)

Michel
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par Jean François » 12 Jan 2021, 00:25

Nous nous dirigeons sans doute vers une petite période glaciaire...

Ce qui serait bien pire qu'un réchauffement, les récoltes seraient alors insuffisantes, manque de CO2!

Nous n'entendons plus depuis un certain temps le terme réchauffement climatique, mais pudiquement, changement climatique qui l'a finalement éclipsé!

Et puis la COVID a pris la vedette, elle absorbe tout...le monde a attrapé un TOCOVID, pourtant la létalité mondiale totale par année, sans elle, a déjà été plus élevée.

Personne ne meurt de la COVID, tout comme de la grippe, mais de leurs complications!

Des réchauffements qui refroidissent et des refroidis qui n'augmentent pas, sauf peut être quand j'en ferai partie... un de plus...

Vaut mieux en rire parfois, car c'est sanitairement et économiquement dramatiques...

Amitié

Jean François
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par Jean François » 12 Jan 2021, 13:05

A propos du CO2, j'ai produit 25 tonnes de CO2 depuis que je suis né, simplement en respirant.

Quand je cours mes 15 kilomètres.pieds nus, je risque la taxe carbone !
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 12 Jan 2021, 17:57

Bonjour Jean-François,

"A propos du CO2, j'ai produit 25 tonnes de CO2 depuis que je suis né, simplement en respirant."

Tu pourras pour ta défense toujours avancer que tu as été utile en particulier à la synthèse de la matière organique végétale par les plantes vertes et ainsi participer au développement de la biodiversité et accessoirement te nourrir.

Et avec le méthane, émis par une autre voie, suite à ta fermentation entérique (intestinale), tu peux également scientifiquement soutenir que tu participes à la production de biogaz.

Émettre du méthane est aussi un signe de bonne santé de ton microbiote.

Si on t'oppose que le méthane est aussi responsable de l'effet serre, devant tant de malveillance, tu peux rappeler à tes interlocuteurs que le méthane est un gaz instable qui se décompose dans l'atmosphère en quelques années selon des recherches récentes, dont celles du CNRS.

Enfin, le méthane était déjà présent dans l'atmosphère primitive et par sa composition en carbone et hydrogène il a participé à l'apparition des premières formes de vie. Une époque bénie, où la taxe carbone n'existait pas.

Amitiés.
Michel
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 04 FĂ©v 2021, 12:22

" À propos de la condamnation de l'État pour « carences fautives »

Communiqué de l'Association des Climato-Réalistes

Paris le 3 février 2021

Aujourd'hui même, le tribunal administratif de Paris a jugé l'État coupable de « carences fautives » en matière de lutte contre le réchauffement climatique et l'a condamné à verser un euro symbolique à quatre ONG.

La France n'est pourtant responsable que de 0,9 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Depuis des années, notre pays se classe même en excellente position au classement de l'université de Yale des pays environnementalement les plus vertueux. Un pays qui donne ainsi l'exemple ne devrait pas se voir ainsi condamné.

Ce coup d'éclat n'est que le dernier d'une longue série d'actions cherchant à instrumentaliser la justice. On se souvient par exemple de l'acquittement des « décrocheurs » du portrait du Président de la République par un tribunal de Lyon (avant que la cour d'appel ne revienne heureusement sur ce jugement).

L'Association des climato-réalistes exprime son inquiétude sur les dérives de cette judiciarisation du débat sur le réchauffement climatique, qui s'accompagne d'une volonté de restriction des libertés publiques de la part des associations les plus radicales. Elle souhaite que ce jugement fasse l'objet d'un appel et se tient disposée à soutenir toute démarche en ce sens."


Je m'interroge sur les compétences d'un tribunal administratif en matière de climatologie et de l'absence de références à des données scientifiques. Va t'on nous imposer les idéologies les plus extrêmes ?
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par Jean François » 05 FĂ©v 2021, 15:19

Bonjour Michel

La science du climat est une science très récente, complexe, certainement pas divinatoire comme l'utilise certaine idéologie, et au vu de la complexité des interactions, nos spécialistes de la météo en savent quelque chose quand il s'agit de prédire une semaine à l'avance, il est gravissime de prévoir un réchauffement, alors qu'une petite glaciation peut tout autant nous arriver demain.

Un refroidissement ferait tomber le taux de gaz carbonique qui aurait des conséquences gravissime sur nos récoltes et ses rendements.

La science ne peut prévoir et guider telle ou telle politique, elle s'appuie sur des hypothèses que seule la réalité future démontrera.

Nous pouvons constater aujourd'hui avec le COVID et malgré notre connaissance des virus, la panique, l'hystérie et l'instrumentalisation de la peur à d'autres fins politique et de profits des industries de la santé que cela provoque laissent déjà rêveur.

Cela nous montre les mécanismes de réaction de nos pseudo démocraties qui instrumentalisent tout pour le profit d'une poignée de l'humanité.

Regardons comment Davos s'empare de "l'écologie" pour orchestrer des stratégies de mondialisation financière.

Amitiés

Jean François
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 09 FĂ©v 2021, 15:12

Bonjour Ă  tous,

Brrr !!! Moins dix au compteur. :-((
méteo Thann 09au 13 fev 2021 +.JPG


Oh ! Mon Dieu, avec ces températures en janvier et en cette première quinzaine de février, bien en dessous des moyennes, ce n’est pas bon pour le moral des réchauffistes.

Voilà donc une bonne raison de rester sous la couette pour une séance écolo de nature et découverte.

Protégez-vous bien !

Michel
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 13 FĂ©v 2021, 11:58

Météo Haut-Rhin: Vigilance rouge.
météo Thann 13-14-15 vigilance Rouge.JPG
Le thermomètre va descendre jusqu'à - 13°C.

Nous allons être bien en dessous des moyennes saisonnières de -11°,-7°et -2°C pour les 3 prochaines nuits.

Restez-chez-vous... Sous la couette !

Michel
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MichelBL
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par MichelBL » 19 FĂ©v 2021, 10:06

Le froid extrême aux États-Unis, jusqu'à - 45° C
Sur figaro.fr du 18/02/2021( extraits)
Par Adrien Jaulmes
"Une énorme tempête hivernale s’est abattue depuis le début de la semaine sur le centre des États-Unis, couvrant de neige les trois quarts du pays et privant des millions de personnes d’électricité et de chauffage…
La neige est tombée dans les grandes plaines, mais aussi dans la vallée du Mississippi et jusque sur la côte du golfe du Mexique, où elle est rarissime. Le mercure est parfois descendu jusqu’à -18°, et l’on enregistrait à Austin des températures inférieures à celles d’Anchorage en Alaska….
Dans le centre du pays, les températures ont ainsi déjà atteint des records pendant le week-end avec -45 degrés Celsius dans certaines contrées du Minnesota…"


Voilà des températures qui vont à l'encontre des annonces apocalyptiques des oracles du GIEC et dédouane le CO2 ?

Michel
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Jean François
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Re: Où l’écologie politique veut-elle nous entraîner ?

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Message par Jean François » 20 FĂ©v 2021, 15:58

Et oui Michel, nous allons vers une petite glaciation.
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