Re: Port du masque : et quoi encore ?
Publié : 05 Avr 2022, 18:36
Architecture moderne, ancienne, égyptienne, géométrie, harmonie
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https://demarchesadministratives.fr/act ... la-4e-doseVaccin contre la Covid : les 60 ans et plus désormais éligibles à la 4e dose
https://journals-lww-com.translate.goog ... x_tr_hl=frCette étude visait à déterminer si l'utilisation obligatoire du masque a influencé le taux de létalité au Kansas, aux États-Unis, entre le 1er août et le 15 octobre 2020.
Cette étude a appliqué des données secondaires sur les mises à jour de cas, les mandats de masque et le statut démographique liés à l'État du Kansas, aux États-Unis. Une analyse de parallélisation basée sur des données au niveau du comté a été menée sur ces données. Les résultats ont été contrôlés en effectuant plusieurs analyses de sensibilité et un contrôle négatif.
Une analyse de parallélisation basée sur des données au niveau du comté a montré qu'au Kansas, les comtés avec mandat de masque avaient des taux de létalité significativement plus élevés que les comtés sans mandat de masque, avec un risque relatif de 1,85 (intervalle de confiance à 95 % [IC à 95 %] : 1,51-2,10 ) pour les décès liés à la COVID-19. Même après ajustement pour le nombre de « personnes protégées », c'est-à-dire le nombre de personnes non infectées dans le groupe avec masque obligatoire par rapport au groupe sans masque, le risque relatif est resté significativement élevé à 1,52 (IC à 95 % : 1.24–1.72). En analysant la surmortalité au Kansas, cette étude détermine que plus de 95% de cet effet peut uniquement être attribué au COVID-19.
Ces résultats suggèrent que l'utilisation du masque pourrait constituer une menace encore inconnue pour l'utilisateur au lieu de le protéger, faisant des mandats de masque une intervention épidémiologique discutable.
La cause de cette tendance est expliquée ici en utilisant la théorie de « l'effet Foegen » ; c'est-à-dire une réinhalation profonde de gouttelettes hypercondensées ou de virions purs capturés dans les masques faciaux, car les gouttelettes peuvent aggraver le pronostic et pourraient être liées aux effets à long terme de l'infection au COVID-19. Bien que «l'effet Foegen» soit prouvé in vivo dans un modèle animal, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour le comprendre pleinement.