Église de la collégiale Saint-Piat, Seclin, Hauts de France
Publié : 15 Avr 2025, 20:42
Bonjour à toutes et à tous ! 
Me voici enfin franchissant le pas de la sacrosainte écriture, après six ans de discussions et d’invitations lancées par notre cher Maître de Cérémonie à tous, j’ai nommé Jean-François.
Et moi qui pensais que ma première publication serait consacrée à Théodore Géricault.
Finalement, la petite ville de Seclin donne l’engagement.
En 2019, j’ai réalisé le relevé de l’église de la collégiale Saint-Piat.
J’ai commencé à arpenter les lieux en octobre 2018. Je m’étais sensibilisé à son atmosphère et à son Genius Locci l’année précédente du haut d’une fenêtre du deuxième étage des locaux de la Voix du Nord. En effet j’ai eu la chance d’y être accueilli, afin d’y peindre cinq grands tableaux de l’église sous cinq lumières différentes durant cinq mois consécutifs.
Réaliser le relevé de cette église est très complexe : cet édifice et un enchevêtrement de remaniements et de réemplois. Appréhender Saint-Piat et sa source n’est pas chose facile. Pourtant on sent intuitivement une présence de connaissances élémentaires, universelles et fondamentales, voire fondatrices.
Je reprends et vérifie souvent ma prise de mesures ainsi que mes plans, dès qu’une nouvelle découverte sur un autre site vient éclairer mes hypothèses.
Les discussions avec Jean-François font évoluer mon regard sur mes hypothèses quant aux formes antérieures de ce lieu.
Mettre en perspective différents édifices et différents sites à travers la planète et à travers les époques met en lumière le système de mesures et les gestes qui président à l’érection des pierres. L’objectif est de saisir la manière dont les bâtisseurs ont procédé, à une époque donnée.
De là, on rend lisible la morphogenèse de l’édifice, la façon dont il s’est développé au fil des époques.
Cette première publication est un amuse-bouche que j’expliciterai petit à petit. on rentrera dans la matière de la réflexion.
À bientôt
Pascal.
Me voici enfin franchissant le pas de la sacrosainte écriture, après six ans de discussions et d’invitations lancées par notre cher Maître de Cérémonie à tous, j’ai nommé Jean-François.
Et moi qui pensais que ma première publication serait consacrée à Théodore Géricault.
Finalement, la petite ville de Seclin donne l’engagement.
En 2019, j’ai réalisé le relevé de l’église de la collégiale Saint-Piat.
J’ai commencé à arpenter les lieux en octobre 2018. Je m’étais sensibilisé à son atmosphère et à son Genius Locci l’année précédente du haut d’une fenêtre du deuxième étage des locaux de la Voix du Nord. En effet j’ai eu la chance d’y être accueilli, afin d’y peindre cinq grands tableaux de l’église sous cinq lumières différentes durant cinq mois consécutifs.
Réaliser le relevé de cette église est très complexe : cet édifice et un enchevêtrement de remaniements et de réemplois. Appréhender Saint-Piat et sa source n’est pas chose facile. Pourtant on sent intuitivement une présence de connaissances élémentaires, universelles et fondamentales, voire fondatrices.
Je reprends et vérifie souvent ma prise de mesures ainsi que mes plans, dès qu’une nouvelle découverte sur un autre site vient éclairer mes hypothèses.
Les discussions avec Jean-François font évoluer mon regard sur mes hypothèses quant aux formes antérieures de ce lieu.
Mettre en perspective différents édifices et différents sites à travers la planète et à travers les époques met en lumière le système de mesures et les gestes qui président à l’érection des pierres. L’objectif est de saisir la manière dont les bâtisseurs ont procédé, à une époque donnée.
De là, on rend lisible la morphogenèse de l’édifice, la façon dont il s’est développé au fil des époques.
Cette première publication est un amuse-bouche que j’expliciterai petit à petit. on rentrera dans la matière de la réflexion.
À bientôt
Pascal.