La petite Chapelle de Sésostris I
Publié : 09 Juil 2019, 00:56
Bonjour à tous
Cette petite chapelle est une merveille de géométrie, puisqu'elle contient tous les gestes des scribes des formes et des contours, gestes que nous découvrons au fur et à mesure de nos analyses.
Elle est nombre, géométrie et harmonie.
C'est une chapelle du reposoir, qui recueille la courbe d'une barque céleste, entre ses 2 murs monolithes. Ils sont chacun traversés par le vide d'une fenêtre de petite dimension et creusés de deux évidements pour y recevoir les doubles portes.
Ces 2 monolithes posés à même le sol, immuables, sont espacés par le simple mouvement des doubles portes qui s'ouvrent et se ferment.
Nous ne pouvons y trouver plus belle raison.
Son espace intérieur : un simple rectangle double carré!
Sur le monolithe se mesure la longueur intérieure de la chapelle 7 meh nessou 4 shesep 2 djébâ etc..., nombre irrationnel.
C'est une chapelle du reposoir qui chape le mouvement processionnel de pharaon et des porteurs de la barque céleste et le mouvement de l'ouverture et de la fermeture des portes.
Les portes battantes sont le cœur battant du protocole de création de cette petite chapelle, car chacune des quatre portes brasse le mouvement d'un quart de cercle, cercle qu'elles forment toutes ensembles dans son entier.
Ce cercle d'1/2 Aawi de rayon, 1 meh nessou 6 shesep et 1 1/2 djébâ, 1/4 de la longueur interne, 1/2 de la largeur interne, nombre irrationnel est ici devenu transcendant, car il a pour circonférence 12 meh nessou.
Les 2 demi circonférences ex-tendues en droite, sont les 2 largeurs externes de 6 meh nessou.
La diagonale d'un carré de 6 meh nessou nous dessine la longueur externe de l'édifice, un autre irrationnel.
Ce monolithe taillé dans la masse en des dimensions irrationnelles et transcendantes détermine un espace intérieur irrationnel, pour qu’une seule dimension rationnelle de 6 meh nessou, sa largeur externe, ne soit obtenue qu’au montage de l’espacement entre les deux monolithes.
Pour faire simple, l’espace intérieur est donné pour 1 Aawi et 2 Aawi, un Aawi qui apparaît au sein d’un carré meh par deux petits rabattements tels Phi carré et 1.
Cette chapelle part d’un carré meh duquel est ciblé 6 meh nessou sur 10, carré de 6 engendrant la diagonale qui est la longueur de la chapelle et l' Aawi ( environ 2 mètres) de sa largeur intérieure est obtenu en 2 rabattements.
Donner un nom à une mesure qui apparaît constamment après des rabattements géométriques, le nom de « deux battants » pour ce drôle de jumeau du double mètres avant sa venue, sera donc bien venu !
Nous avons donc pris le correspondant en hiéroglyphe : Âawi ou double battant d'une porte
Partant d'un carré Meh surface, 10 meh nessou de côté, après deux rabattements nous obtenons l'Aawi, jumeaux de 2 de nos mètres d'aujourd'hui.
Ici une analyse possible de son élévation sachant que la hauteur est donnée 2.5 mètres
Amitiés
Jean François
Cette petite chapelle est une merveille de géométrie, puisqu'elle contient tous les gestes des scribes des formes et des contours, gestes que nous découvrons au fur et à mesure de nos analyses.
Elle est nombre, géométrie et harmonie.
C'est une chapelle du reposoir, qui recueille la courbe d'une barque céleste, entre ses 2 murs monolithes. Ils sont chacun traversés par le vide d'une fenêtre de petite dimension et creusés de deux évidements pour y recevoir les doubles portes.
Ces 2 monolithes posés à même le sol, immuables, sont espacés par le simple mouvement des doubles portes qui s'ouvrent et se ferment.
Nous ne pouvons y trouver plus belle raison.
Son espace intérieur : un simple rectangle double carré!
Sur le monolithe se mesure la longueur intérieure de la chapelle 7 meh nessou 4 shesep 2 djébâ etc..., nombre irrationnel.
C'est une chapelle du reposoir qui chape le mouvement processionnel de pharaon et des porteurs de la barque céleste et le mouvement de l'ouverture et de la fermeture des portes.
Les portes battantes sont le cœur battant du protocole de création de cette petite chapelle, car chacune des quatre portes brasse le mouvement d'un quart de cercle, cercle qu'elles forment toutes ensembles dans son entier.
Ce cercle d'1/2 Aawi de rayon, 1 meh nessou 6 shesep et 1 1/2 djébâ, 1/4 de la longueur interne, 1/2 de la largeur interne, nombre irrationnel est ici devenu transcendant, car il a pour circonférence 12 meh nessou.
Les 2 demi circonférences ex-tendues en droite, sont les 2 largeurs externes de 6 meh nessou.
La diagonale d'un carré de 6 meh nessou nous dessine la longueur externe de l'édifice, un autre irrationnel.
Ce monolithe taillé dans la masse en des dimensions irrationnelles et transcendantes détermine un espace intérieur irrationnel, pour qu’une seule dimension rationnelle de 6 meh nessou, sa largeur externe, ne soit obtenue qu’au montage de l’espacement entre les deux monolithes.
Pour faire simple, l’espace intérieur est donné pour 1 Aawi et 2 Aawi, un Aawi qui apparaît au sein d’un carré meh par deux petits rabattements tels Phi carré et 1.
Cette chapelle part d’un carré meh duquel est ciblé 6 meh nessou sur 10, carré de 6 engendrant la diagonale qui est la longueur de la chapelle et l' Aawi ( environ 2 mètres) de sa largeur intérieure est obtenu en 2 rabattements.
Donner un nom à une mesure qui apparaît constamment après des rabattements géométriques, le nom de « deux battants » pour ce drôle de jumeau du double mètres avant sa venue, sera donc bien venu !
Nous avons donc pris le correspondant en hiéroglyphe : Âawi ou double battant d'une porte
Partant d'un carré Meh surface, 10 meh nessou de côté, après deux rabattements nous obtenons l'Aawi, jumeaux de 2 de nos mètres d'aujourd'hui.
Ici une analyse possible de son élévation sachant que la hauteur est donnée 2.5 mètres
Amitiés
Jean François