Firuzabad, l' Iran et ses temples de feu ! - Espaces, formes et contours

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Firuzabad, l' Iran et ses temples de feu !

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Jean François
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Firuzabad, l' Iran et ses temples de feu !

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Message par Jean François » 06 DĂ©c 2021, 22:54

https://mail.google.com/mail/u/1/#inbox ... FxVxpGPmxD

Un merci infini Ă  Anna Delassiaz

....Le ciel est descendu sur terre à Fîrûzâbâdî !
Firuzabad 3.jpg
( Cliquer sur l'image)


[
Firuzabad 0.jpg
( Cliquer sur l'image)

Il n' y a qu'Ă  ramasser les noix...magistral

26.10 mètres, 16.10 mètres, 7.05 mètres, 20 mètres...je rêve ou j' entends réellement Zarathoustra?

Nous reviendrons bientĂ´t sur des chevaux de feu voir les temples de feu...

Retournons voir la lune et le soleil, l'eau et le feu de Teotihuacan !
Firuzabad ville (2).PNG
(Cliquer sur l'image)

10 grands stades Egyptiens...cercle intérieur...extérieur 20 petits stades Egyptiens
jeanfrancoiswarein@gmail.com
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Jean François
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Re: Firuzabad, l' Iran et ses temples de feu !

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Message par Jean François » 07 DĂ©c 2021, 14:15

Ramassons les noix...

Ramenées à 26.18 mètres, 16.18 mètres, 7.071 mètres et 20 mètres, théoriques.

Inscrite dans un espace rectangulaire de 82.70/66.10 mètres, soit un rapport racine de PI sur racine de 2

Placée dans la largeur à 20 mètres des bords, la moitié, 10 mètres nous invitent au rapport doré avec les 16.10 mètres qui délimitent le carré 'intérieur de l'architecture.

Les 26.10 mètres du carré extérieur de l'architecture s'obtiennent en ajoutant l'autre 10 mètres à 16.10 mètres côté du carré interne.

Avec un carré de 10 mètres la demi diagonale nous donne les 7.07 ( 7.05 ) mètres qui doublés et ajoutés à la mesure 12 mètres relevés comme largeur externe de la croix, nous restituent les 26.10 mètres.

Différence entre 7.05 et 7.071, c'est aurant entre 26.10 et 26.18 mètres.

On peut dire que c' est une véritable architecture car nombre d'or et quadratures sont présents, sans cela ce ne serait qu'une construction, un abris...

Nous sommes en Iran, les traces des Sumériens, Mésopotamiens, Egyptiens et Grecs ne sont pas si éloignées, restent imprégnées grâce aux routes commerciales et la confrontation des savoirs et des cultures tout au long de leurs histoires/

L'auteur ci dessus parle d'un pied romain de 0.382 mètres ??? que je ne connais pas....si ce n'est que 10 de ces mesures se retrouvent dans la diagonale du carré extérieur, et que c'est aussi 1 sur Phi carré en mètre.

Parle aussi d'une mesure à 46.5 cm qui n'est autre que 0.462 mètres la coudée de six palmes du pieds grecs de l'acropole sous Périclès.
Quatre de cette coudée donnent la Brasse de 99 djébâ dont cent le grand stade Egyptien.

Firuzabad 0 1 (2).PNG
Un peu de provocation, mis les mesures de surface en mètres carrés :D

Tant pis, c'est cent Pi et cent Phi carrés mètres carrés...Bon tempi
jeanfrancoiswarein@gmail.com
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Jean François
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Re: Firuzabad, l' Iran et ses temples de feu !

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Message par Jean François » 07 DĂ©c 2021, 21:58

Firuzabad 0 2 (2).PNG
(Cliquer sur l'image)

261.8 carré surface, nous rappelle les 261.8 Meh de l'enceinte de Deser à Saqqarah, un carré du double carrés intérieur...

Et les quatre carrés de 7.07 de côté totalisent 50 x 4 soit 100 mètres carrés

100 mètres carrés, 261.8 mètres carrés, 314.16 mètres carrés

100x 1 mètre carré, 100 x Phi mètres carrés, 100 x Pi mètres carrés...

Le hasard a tout de mĂŞme ses limites :D

Normal qu'il y ait du "mètre" s'il y a tracé géométrique au préalable et des mesures anciennes d'origine géodésique.

Nous allons faire un premier essai de tracé avec la meh nessou, un autre avec une coudée de l'acropole, la coudée sumérienne et étrusque et enfin avec la coudée noire!
jeanfrancoiswarein@gmail.com
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Jean François
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Re: Firuzabad, l' Iran et ses temples de feu !

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Message par Jean François » 07 AoĂ»t 2022, 14:40

J'y reviens et y reviendrai encore, ce temple est bien un feu de mesures...

314.16 mètres carrés sont bien un Clima romains, mais aussi deux Hectos grecs.

Evidemment, 261.8 mètres carrés sont les 5/6 d'un Clima !


26.18 mètres sont aussi la diagonale du Sa Égyptien et le carré de 26.18 mètres de côtes est un Heseb.

Donc ce carré fait aussi en surface 2 Sa., mais aussi 200 Hexapodes!

Nous avons ici dans ce temple de feu, les modules tels le Sa Égyptien et le Clima Romain ou le double Hectos Grecs qui ont fait naître aussi nos Cathédrales...
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Jean François
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Re: Firuzabad, l' Iran et ses temples de feu !

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Message par Jean François » 09 DĂ©c 2023, 17:41

https://www.espaces-formes-et-contours. ... 4358#p4358

Un petit détour avec ses âmes sœurs, sésame ouvre toi, tout comme ce temple de feu qui semble s'allumer, tant d'analogie avec ses sœurs de l'Egypte !
Firuzabad 0 2 (2).PNG
( Cliquer sur l'image)

Finalement nous retrouvons le lien avec la meh nessou mais aussi avec notre module Egyptien, d'autant mis en lumière par les surfaces.

Ce sont donc des modules surfaces Egyptiens, ceux rencontrés dans les chapelles Egyptiennes de Karnak dont la première, La Blanche de Sésostris premier, qui fut à la fois le premier germe et sa matrice entourée d'une simple enceinte, premier édifice sur le lieu de Karnak qui deviendra le plus grand complexe religieux construit de tous les temps.

MĂŞme droit au rapport 6/5 !



Alexandre Varille avait raison!

Son hypothèse mettait en avant comme langage architecturale de l'ancienne Egytpte, avant tout un langage géométrique, et non le hasard ou l'unique comptage archaïque.

Faisant partie alors des Egyptologues catalogués symbolistes par opposition à la majorité officielle en l'autorité de l'Egyptologie dites Historique, avec ses récits autoritaires avec arguments totalitaires, prenant toutes ses hypothèses pour des certitudes, refusant la controverse et donc le débat scientifique !

N'est ce pas, en la personne du Directeur des Antiquités de l'Égypte en remplacement de Pierre Lacau et 1952, année lors de laquelle il est nommé conservateur en chef au Musée du Louvre et directeur au CNRS, rien que cela, le Chanoine Drioton, encoquiné avec l'Eglise de Rome, elle même encoquinée avec les puissants de cette époque.

La fameuse querelle des égyptologues symbolistes minoritaires contrés violemment par les historiques majoritaires !

Querelle ? Guerre, carrément, l'égyptologie symbolique en est morte avec ce combat.

Aujourd'hui plus de symboliste, plus de débat scientifique, plus aucun débat.

Je recite ici l'excellent article de Roland Barthes dans la revue Combat...

II est difficile de dire si les idées de M. Varille sur le temple égyptien sont vraies, mais il faut avouer qu'elles sont passionnantes. Et comme il ne s'agit ni de science atomique, ni de subversion morale, il me semble, comme à d'autres, qu'on a le droit et le devoir d'en parler. Donc M. Varille est un égyptologue de carrière ; il réside depuis de longues années à Karnac, lieu saint de l'ancienne Egypte, situé à trois ou quatre kilomètres de Louqsor. Il a réfléchi sur un fait archéologique d'apparence modeste, attribué jusque-là à des réflexes purement utilitaires d'architectes : certaines pierres, dites de remploi, appartenant à un premier temple, depuis écroulé, ont été replacées dans les fondations d'un nouveau temple.

Geste commandé aux constructeurs par l'économie de peine et de matériaux, disent le bon sens moderne et l'archéologie classique. Geste intentionnel et sacré, répond M. Varille, destiné à faire naître le temple nouveau d'un germe ancien, et à assurer au devenir des édifices religieux la continuité même de la vie. Ainsi, par ces pierres de remploi, couvertes d'inscriptions et enfouies à l'angle, c'est-à-dire pétries de significations, pierres vives et germantes, le temple égyptien est un édifice vivant, qui naît, croît, meurt et engendre, à l'image de la nature végétale, dont l'élan périodique se retrouve figuré dans les colonnes en forme de lotus et de papyrus et dans le mythe osiriaque lui-même.

Mais ce mouvement du temple égyptien n'est nullement laissé au caprice : il suit dans toutes ses phases le rythme du ciel et les périodes des astres. Le temple, naît, meurt et se transforme selon les changements mêmes du ciel, déterminés par les astronomes. Les Pharaons le fondent et le détruisent à des moments fixés de toute éternité : Histoire, religion et architecture sont soumises à un programme céleste, qu'il appartient aux astronomes de déchiffrer, et au Pharaon d'exécuter. Aussi pour M. Varille, toutes les modifications du temple, sa naissance, sa ruine, ses inscriptions, leur place, les grattages et les surcharges de fresques, les dessins incomplets, la direction même de l'écriture hiéroglyphique, tout, dans le temple égyptien, a un sens ésotérique, tout est intentionnel, tout est signe d'une connaissance secrète de la Nature, tout est transmission symbolique d'une sagesse millénaire, à la fois manifestée et cachée, selon une démarche bien connue des mentalités prélogiques.

Admise, une telle hypothèse aurait de vastes conséquences d'abord pour les égyptologues, à qui elle pourrait imposer un renouvellement complet de l'interprétation des mythes et des monuments. Ensuite pour les archéologues, contraints désormais de ne point déplacer une pierre de fouille, sans avoir scrupuleusement repéré et mesuré sa place, son sens et son orientation, puisqu'ici tout est signe (c'est ce qu'a déjà fait, avec un grand succès, un collaborateur de M. Varille, M. Clément Robichon). Pour les historiens et les sociologues enfin, placés par l'hypothèse de M. Varille devant une mentalité archaïque d'un type riche et cohérent, éclairée d'une façon privilégiée par les abondants détails que livre l'extraordinaire conservation des monuments égyptiens.

A cette hypothèse, ..., l'égyptologue orthodoxe — ... — a d'abord répondu par un front volontaire de silence, puis par l'argument d'autorité : à M. Varille, on opposa l'opinion unanime de ses collègues (il ne peut y avoir, paraît-il, de querelle d'un contre plusieurs), à M. André Rousseaux, son incompétence. Récemment, importuné par le bruit d'une théorie «effarante», le chanoine Drioton a condescendu à aborder rapidement le fond de la question : pour lui il ne vaut même pas la peine de la discuter, parce que les anciens Egyptiens s'étant toujours expliqués sur ce qu'ils entendaient faire et n'ayant jamais rien écrit sur la signification ésotérique de leurs édifices, le temple égyptien est et n'est rien de plus que la demeure du dieu, dans laquelle il est prié et honoré. Tout le reste est «puérilités» et «fariboles».

Tout ne paraît pas purement technique dans cette réponse et c'est ce qui autorise à faire entendre timidement la voix de l'incompétence. Il semble que l'on pourrait déjà répondre quelque peu à l’égyptologie triomphante, que l'ésotérisme ne se déclarant jamais comme tel, et n'étant un concept que pour ceux qui lui sont extérieurs, il reste fort plausible que les anciens Egyptiens aient saturé leurs temples d'intentions, sans pourtant manifester l'intention de ces intentions ; que le terme de «puérilité», appliqué aux conceptions supposées des anciens Egyptiens, relève d'un jugement purement normatif qui pose la raison moderne et son principe de contradiction comme une valeur de référence absolue et éternelle qui va de soi ; que le mot écrit peut très bien avoir un pouvoir d'efficience, indépendant de son pouvoir de communication, comme l'attestent tant d'actes magiques de ce genre qui existent dans le rituel d'autres religions ; et que l'égyptologue étant un homme tout aussi historique que les autres, son «bon sens» et sa «finesse», historiques aussi, doivent être complétés par l'imagination des mentalités disparues et étrangères, et par un pouvoir d'appréhender l'Histoire passée dans son altérité la plus profonde et la plus déconcertante.

Après tout, si l'hypothèse de M. Varille est fausse, elle n'est pas moins digne d'intérêt que les erreurs de Descartes, de Buffon et de Michelet sur la circulation du sang, l'épigenèse ou Louis XI. Et si elle est vraie, l'égyptologie unanime devrait prendre garde à n'être pas du côté des anticirculateurs, en leur temps tout aussi unanimes et convaincus, à preuve ce médecin de Venise qui, dans son mépris pour Harvey, assurait n'avoir jamais entendu le bruit du cœur.
Roland Barthes
Publié dans COMBAT le 25 octobre 1951



Il devrai être évident aujourd'hui que ce langage architectural usant de rapport harmonique géométrique soit universel !

Et c'est bien pour cela qu'il est systématiquement mis de côté par les tenants du pouvoir, ceux qui ont le droit à un récit unique jetant au diable la controverse.

L'Eglise a toujours opéré ainsi pour garder son autorité, la science quand elle fait de même glisse alors vers l'abominable scientisme.

L'autorité fait autorité elle même, mais une autorité qui fait de la rétention de savoir et preuve et refuse le débat n'est plus qu'autoritarisme et n'a plus du tout le même sens et finit par ne même plus faire sens.....
jeanfrancoiswarein@gmail.com
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