Merci Jean François pour ton excellente recherche sur le net.
Pour nos lecteurs et pour résumer, voici quelques extraits de morceaux choisis de cette publication:
https://www.climato-realistes.fr/michae ... entalisme/
La confession d’un militant environnementaliste repenti
Michael Shellenberger est le fondateur de l’
Environmental Progress, une organisation de recherche et de politique, qui lutte pour une énergie propre et une justice énergétique afin de réaliser la prospérité pour tous. Il est aussi fondateur du
think tank Breakthrough Institute, qui est un centre de recherche visant à identifier et à promouvoir des solutions technologiques aux défis environnementaux et au développement humain. Il a publié plusieurs ouvrages et articles.
Un livre de plus de 400 pages, dont cent vingt de notes rigoureuses et de références précises. Un livre dont
Tom Wigley, climatologue (Université d’Adelaïde),
ex-chercheur au National Center for Atmospheric Research et membre de l’American Association for the Advancement of Science[3], dit ceci :
« Le livre pondéré et revigorant de Michael Shellenberger traite en profondeur un éventail de questions environnementales et expose les falsifications des scientifiques, les distorsions partisanes d’organisations environnementales et les biais suscités par des intérêts financiers. Ses conclusions s’appuient sur des exemples, des arguments convaincants et de poids, des faits et des sources documentés. Apocalypse Never pourrait bien être le plus important livre sur l’environnement jamais écrit. » (Revue de presse Amazon) [4]
Le livre de Michael Shellenberger est la confession d’un repenti, celui d’un homme qui s’excuse, et non seulement pour lui, mais pour nombre d’environnementalistes partout dans le monde :
« Au nom d’environnementalistes du monde entier, je voudrais m’excuser formellement pour la peur climatique que nous avons créée au cours de ces trente dernières années. Un changement climatique se produit. Ce n’est pas la fin du monde. Ce n’est même pas notre plus sérieux problème environnemental. »[5]
Les causes de l’alarmisme selon Shellenberger : « financières, politiques et idéologiques »
Les citations qui suivent sont tirées de l’
article du Point :
« (…) mais il est également vrai que le développement économique nous a rendus moins vulnérables, ce qui explique pourquoi
le nombre de victimes de catastrophes naturelles a diminué de 99,7%[10] depuis son point culminant de 1931. Cette année-là , 3,7 millions de personnes sont mortes des suites de catastrophes naturelles. En 2018, 11 000 seulement. Et cette baisse s’est produite au cours d’une période où la population mondiale a quadruplé. »
Peut-on continuer à tolérer cette incessante chasse aux sorcières mise en œuvre pour empêcher les gens de parler ? Peut-on continuer à dire que le problème est clos, que la science a dit son dernier mot, à la manière de
ces climato-idéologues qui se sont déchaînés récemment contre une femme politique et professeure d’université, qui avait osé une question jugée hérétique par des commissaires du peuple ? Peut-on continuer à dilapider des milliards dans un combat absurde contre une prétendue apocalypse, une affaire montée de toutes pièces ? Faudra-t-il continuer à tolérer que des chercheurs sérieux puissent perdre leur job pour ne pas avoir cru aux thèses officielles sur les changements climatiques ? Admettrons-nous encore longtemps qu’un enseignant soit traîné dans la boue et voué aux gémonies par une presse complice, pour avoir répondu à une question d’élève sur le climato-réalisme ?
Quant à Judith Curry, spécialiste en thermodynamique, elle affirme que « presque la moitié du réchauffement constaté au XXe siècle s’est produite lors de sa première moitié, avant le développement mondial ». Pour elle, « la climatologie est devenue un parti politique de tendance totalitaire », « une science douteuse au profit d’un projet politique ».[22]
Plus de détails sur Judith Curry.[23]
23] (
https://www.congress.gov/115/meeting/ho ... io-CurryJ-). « Curry’s research interests span a range of topics in weather and climate. She has authored over 180 scientific papers, and is author of the textbooks Thermodynamics of Atmospheres and Oceans, and Thermodynamics, Kinetics and Microphysics of Clouds…..
Et voici la conclusion extraite de ce document :
L’aveu d’un homme du sérail, avec un impeccable passé de militant, vient s’ajouter à l’analyse de milliers de scientifiques qui se sont exprimés dans des sens voisins.
Des scientifiques qui pour nombre d’entre eux ont quitté le GIEC ou son obédience pour des raisons voisines et convergentes.
Cette brèche ouverte dans l’impénétrable monolithisme des théories climatologiques officielles fera-t-elle école ? La vérité retrouvera-t-elle ses droits ? La lumière percera-t-elle sous deux décennies d’obscurantisme idéologico-politique ? Le mur de Berlin a bien fini par tomber…