Espaces, formes et contours

Bonjour à tous


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Domaine du scribe des formes et des contours dans l’Égypte ancienne, ne semble pas avoir mis beaucoup de temps pour atteindre son apogée dès l'ancien empire.

De là à trouver qu'il empire, qu'il perd de sa superbe, mises à part de mémorables exceptions, on peut dire qu'il n'a plus jamais atteint par la suite cette même plénitude, cette sérénité, presque cette sonorité à l'égal d'un recueil de l'art de la fugue de notre Jean Sébastien Bach.



Nous viendrons faire ici l'analyse d'une œuvre, et même l'étude comparée, pour peut être au fur et à mesure des mois et dès rotations de la terre autour du soleil, y découvrir ce mystère de la vie qu'une pierre, qu' une couleur et qu'un trait savent parfois si bien nous chanter, jusqu'à nous enchanter au plus profond de nous même.

Amitiés

Jean François

Bonjour

Des promesses, des promesses...et la messe n'est pas dite..

Suis absorbé par l'énorme travail de prospection parmi les architectures, sans lesquelles les protocoles de création ne se dessineraient pas à nos yeux avec cette évidence singulière.

Plus nous avançons dans les protocoles de l'architecture Égyptienne, ou autres d'ailleurs, puisqu'ils sont semblables à toutes les civilisations, plus nous nous rapprochons de ceux de la peinture et de la sculpture.

Bientôt en retraite, je pourrai travailler plus, plus de temps à travailler utilement à ces protocoles, sans qui l'analyse des oeuvres serait trop enfermée dans le temps et l'histoire, au lieu de pouvoir se libérer dans son espace universel.

Ce qui permettra une véritable analyse comparée des oeuvres....

Il faut du mouvement...pour s'émouvoir!

Le temps n'existe pas, seul le.vivant en est la conscience, conscience de la vie et de la mort, échelle du "temps" que nos sens perçoivent, échelle d'une vie...et d'une mort inéluctable...

Notre corps est mémoire, parce qu'il a été, qu'il est et qu'un jour il ne sera plus.

Nous retournerons alors dans l'espace, décomposés en atome de carbone, d'hydrogène et d'oxygène, de métaux etc...

L'art est le visible et l'invisible, ce qui est et ce qui n'est plus, ce qui a été et ce qui sera...

Quel espace!

Amitiés

Jean François qui délire un peu...(beaucoup)

Bonjour jean- François,

"Le temps n'existe pas, seul le vivant en est la conscience, conscience de la vie et de la mort, échelle du "temps" que nos sens perçoivent, échelle d'une vie...et d'une mort inéluctable..." Bravo J-F pour cette profonde réflexion...
Et l'éternité n'a pas de fin, encore faudrait-il qu'elle ait un début pour exister et qu'elle ait surtout le temps d'y penser.

Amitiés.

Michel

Bonjour,

un chercheur tente de répondre à ces questions, je ne sais pas si cela clarifie beaucoup, je m'endors toujours avant la fin :

Sans revenir sur le visage de Khaefré, je n'arrive décidément pas à comprendre comment il a pu être comparé au visage du Sphinx qui lui est complètement différent.

Comment se fait-il qu'il y ait tant d'approximation et de vérités assénées qui ne sont finalement que des hypothèses peu plausibles, jamais remises en question par notre bon savoir académique Égyptologique décidément pas très logique...

Je ne ferai même pas une analyse comparée entre ces deux visages tant il suffit de les regarder pour qu’instantanément saute au yeux que le sphinx n'est pas Khaefré.

Comment mettre sur le dos alors l'incompétence des scribes des formes et des contours, ce qui justifierait que le sphinx ne ressemble pas à la statue de Khaefré, alors que s'ils sont de la même époque, ce serait alors les mêmes scribes des formes et des contours qui les auraient réalisés.

Ce manque de ressemblance ne démontre pas qu'ils ne seraient pas de la même époque, mais dire qu'ils se ressemblent pour justifier qu'ils le seraient...sans commentaire...